A environ 580 km de la Sicile en Italie, des actes injustes et inhumains ont lieu contre des êtres humains, mais l’Europe et le monde entier continuent d’observer ces actes sans dire mots.
L’OIM a condamné la Libye pour le meurtre de 30 migrants lors d’une fusillade par des passeurs en Libye le 27 mai 2020.
La tragédie s’est produite à Mezda, près de la ville de Gharyan, au sud-ouest de Tripoli, dans un entrepôt où les trafiquants gardaient enfermés un groupe de migrants.
Des peines sévères, mais rien ne change, parce qu’en Libye les migrants continuent de mourir tous les jours.
Les groupes criminels profitent de l’instabilité du pays pour exploiter et mener des actes inhumains contre les migrants, ces personnes vivant dans des conditions désespérées et vulnérables.
Les trafiquants continuent à tuer parce qu’au-delà des condamnations par les médias, dans la pratique, aucune décision forte n’est prise pour y mettre fin.
En Libye, les gens continuent de mourir, et le monde continue d’être insensible.