L’année académique 2018-2019 des universités publiques de côte d’ivoire s’est vu plusieurs fois interrompue pour cause d’inscriptions.
Les étudiants des universités publiques depuis plusieurs mois se plaignent des exigences des responsables des scolarités des universités de côte d’ivoire qui ne cessent d’exiger une inscription préalable de l’etudiant lambda avant même de béneficier d’un groupe de TD (travaux diriger), d’accéder aux compositions et mêmes aux résultats de fin d’année. Cette exigence a-t-elle des raisons extérieures au système universitaire ou tendons-nous vers une privatisation des universités publiques?
En effet le système universitaire depuis l’an 2014 est regenter par une politique d’autogestion. C’est à dire que les universités se gèrent financièrement elles mêmes via les frais inscriptions des différents étudiants qui constituera le budget des universités et reçoit les 10% de l’Etat d’où cette exigence nonobstant les frais d’inscription qui sont plus ou moins exhorbitant pour la masse évaluer à hauteur de 30.000 Francs CFA le premier cycle , 60.000 Francs CFA le sécond cycle et 90.000 Francs CFA le troisième sans compter les frais annexes.