La ville de Dabou a été très meurtrie en octobre 2020 lors de l´élection présidentielle. La ville de Harris Memel Fote a été le théatre d´attaques sanglantes de la part d´assaillants contre la population afin de susciter un conflit intercommunautaire. Tenant compte de cette realité les jeunes leaders d´opinion du département ont decidé de prendre de l´avance pour les prochaines élections législatives en prônant la paix.
Agnès Jean Durant Vice-Président chargé de la sous-préfecture de Toupah de l´association Jeune Adioukrou Moderne (JAM) a pris part à une rencontre d´échange sur la paix dans le département de Dabou, à la vieille de nouvelles échéances électorales. Déjà en Octobre 2020 lors de l´élection présidentielle boycottée par l´opposition, la ville de Dabou et des villages environnants ont connu des attaques meurtrières d´assaillants, le bilan humain fait état de près de vingt (20) morts.
C´est donc unanimement que les jeunes du département ont répondu favorablement à la participation à cette rencontre organisée par le Conseil National de la Jeunes de Côte d´Ivoire (section Dabou).
Selon Gnagne Mel Silas le président de JAM, son organisation a tenu à honorer de sa présence cette rencontre car la paix est bien commun qu´il faut protéger, en conséquence, il s´est fait représenter par une délégation composée de son deuxième Vice-président, Agnès Jean Durant et du conseiller juridique Armel Kevin Attouma.
A cette rencontre étaient également invités les jeunes leaders d´association et de des partis politiques actifs dans le département de Dabou. Pour la plateforme d’échanges des jeunes leaders « les élections apaisées passent par le respect des règles démocratiques éditées ».
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