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Canada /Racisme-Covid-19 : Un médecin d’origine africaine accusé

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Le SRAS-Cov2 n´épargne aucun pays du monde, le Canada comme tous les autres souffre des effets du virus avec son lot de contagion. Dans cette guerre contre l´énnemi invisible qu´est la Covid-19, les professionnels de la santé sont en prémière ligne avec toute la pression que cela impose.

Dans cette situation de crise sanitaire un médecin canadien d’origine africaine est accusé d’avoir propagé le coronavirus dans une ville du pays. Mais que s´est-il passé à Campbellton?

Le Docteur Jean-Robert Ngola qui travaille dans le région de Campbellton au Nouveau Brunswick, a avoué qu’il n’a pas observé la période d’isolement de 14 jours à son retour de la province du Québec. En effet, le médecin canadien d’origine congolaise s’est rendu à Montréal pour aller chercher sa fille de 4 ans parce que pour assister aux funérailles de son père en Afrique, la mère de la petite devrait s’absenter.

Docteur Ngola pensant avoir pris toutes les précautions en faisant un voyage aller-retour de 24 heures sans détour ni pause, a été surpris d’apprendre qu’il était porteur du virus. C’est en fait le test positif de l’un de ses patients qui a déclenché toute l’histoire. Le matin du 25 mai, il reçoit un coup de fil de la santé publique l’informant de la situation de son patient et il est invité à aller faire son test. À la suite de ses résultats, il avoue avoir fait un déplacement rapide au Québec dans la province la plus touchée du Canada. Aussitôt, Il subit des pressions venant de toute part et reçoit des messages haineux et racistes l’accusant de vouloir tuer ses patients et de contaminer toute la ville de Campbellton.

Madochée Esther

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Santé

COVID-19 : Qu’est-ce que le variant Omicron?

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L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré « préoccupant » le nouveau variant Omicron (ou B.1.1.529) du coronavirus, signalé le 24 novembre 2021 en Afrique du Sud, estimant que la probabilité d’une nouvelle propagation de ce variant au niveau mondial est « très élevée » de par ses nombreuses mutations.

Omicron est différent des autres variants à cause de son profil génétique. Tandis que le variant Delta, hautement transmissible, comporte 9 mutations sur la protéine Spike, qui joue un rôle essentiel dans l’infection, le variant Omicron compte 32 mutations sur cette protéine, et une cinquantaine en tout.

Depuis son apparition, l´on note un accroissement de la réinfection des personnes vaccinées contre le COVID-19. l’OMS  prévient à cet effet que : « Des cas du nouveau coronavirus sont attendus chez les personnes vaccinées, bien que dans une proportion faible et prévisible ». L´Organisation redoute des « conséquences graves » dans certaines régions du monde.

« L’émergence du variant Omicron hautement muté souligne à quel point notre situation est périlleuse et précaire », a déclaré le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, rappelant qu’une « nouvelle vague de cas et de décès s’abat sur l’Europe » où le variant Delta est largement majoritaire.

Leadernewsci

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Santé

Leopold Abrotchi, interpelle le ministre de la santé « Vous embilissez l´extérieur et laissez la pourriture à l´intérieur »

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Hier mercredi 12 mai 2021, un père, un frère ou peut-être un simple parent, s´indignait du supplice que sa fille souffrante avait subi à l´hôpital de Grand Bassam. «  Hôpital de Grand-Bassam ce matin, 10h30 plus de 4h de temps d’attente en pédiatrie pour des enfants malades toujours pas de consultations, je dénonce la méthode du service public dans nos hôpitaux, aidez-moi à le faire pour la santé de nos enfants  » avait-il écrit.

Ce parent a posté la photographie de la fillette couchée sur le banc de l´hôpital en attente d´être reçu par les infirmiers et ou le médecin de service ce jour-là. Il dénonce ainsi courageusement le mauvais traitement infligé aux patients dans les hôpitaux publics de Côte d´Ivoire. Juste rappeler qu´à Adzopé une dame enceinte est morte pour des complications obstétricales parce que n´ayant pas été prise en charge comme il se devait. https://www.facebook.com/photo?fbid=547313856078294&set=a.511327643010249

Il ne s´agit pas ici d´un acte isolé surtout lorsque la même attitude ou le mem comportement se répète dans plusieurs centres de santé du pays en trainant dans certains cas des drames. A y voir de près, cette scène illustre parfaitement la politique de Santé publique décadente du gouvernement de M. Alassane Ouattara. Politique qui elle-même tire son essence du projet de société du RHDP mise en application depuis 10 ans.

Cette politique de santé publique alassaniste a couté aux contribuables ivoiriens 2.000 Milliards de franc cfa de 2018 à 2020 pour le résultat que nous voyons tous aujourd´hui. Il faut ajout à ce sinistre tableau de gouvernance opaque et obscure la liquidation du système publique de prise en charge. En effet, voulant imiter Macron en France, le gouvernement ivoirien a privatisé son système de santé sous le fallacieux prétexte d´une reforme visant une autonomisation des hôpitaux publics.

La conséquence est que dans une année les pauvres ne pourront plus se soigner même indignement. A Adzopé le ministre de la Santé a vite fait de sanctionner le directeur de l´hôpital, le Big stick ou la doctrine Monroe. Alors monsieur le ministre qu´allez-vous faire pour le cas de Grand Bassam ? Embellir l´extérieur et laisser la pourriture à l´intérieur ? Le peuple n´est pas dupe et ne saurait se satisfaire d´un ajustement structurel mal fait qui produit des résultats désastreux. Nous attendons monsieur le ministre l´ardoise que vous présenterez au peuple pour la troisième année consécutive de marmaille gouvernementale.

Leopold VII Abrotchi

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Internationale

Covid-19/Vaccin: AstraZeneca en mode camouflage

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Le laboratoire Anglo-suédois AstraZeneca est sous les feux de la rampe depuis le lancement de son vaccin anti-covid-19. Pris entre poursuites judiciaires pour delai non tenu et mauvaise publicité, la manoeuvre n´est pas aisée.

Alors nous dit le journal français l´humanité « Face à la défiance, changer les apparences suffira-t-il ? Mercredi, le vaccin AstraZeneca a annoncé qu’il s’appellera désormais Vaxzevria. La composition du produit est inchangée, mais les industriels espèrent peut-être que ce nouveau nom commercial aidera à faire oublier les déboires du plus controversé des vaccins contre le Covid-19 ».

Le journal dresse une Liste noire peu exhaustive des motifs notoirement connus:

« Erreur sur le dosage lors des essais cliniques, manque de données des effets sur les plus de 65 ans et, depuis quelques mois, soupçons de cas de thrombose parfois mortels, retards de livraison des doses. La liste noire s’allonge pour le désormais ex-AstraZeneca. Médecins et autorités sanitaires ont beau clamer leur confiance, le doute s’est installé dans l’opinion publique ».

Le changement de nom d´une marque est une manoeuvre qui dans bien de cas produit des resultats positifs, toutefois previent le confrère « Ce camouflage grossier pourrait avoir l’effet inverse de celui escompté ».

Malgré les cas de thrombose, l´Agence Européenne des Médicaments a maintenu l´usage du vaccin. Le laboratoire qui n´a livré que 30millions de doses sur les 120millions commandées par l´Union Européene, promet  en livrer 50millions de doses d´ici fin Avril 2021.

Leadenewsci

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