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Coronavirus: Le bilan du 28 Avril en Afrique de l’Ouest

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Le bilan du nouveau coronavirus en Afrique de l’Ouest pour ce 28 avril 2020 est établi. Ainsi, plus de 8225 cas de contamination de Covid-19 avec 206 morts et 2539 guéris ont été déjà dénombrés dans cette région d’Afrique depuis le début de la pandémie jusqu’à maintenant. Ci-dessous, le point de la situation face au Covid-19 en Afrique de l’Ouest.

 

Le Ghana compte 1.550 cas confirmés, 11 morts et 155 guéris.

Le Nigeria compte 1.273 cas confirmés, 40 morts et 239 guéris.

La Côte d’Ivoire compte 1.164 cas confirmés, 14 morts et 499 guéris.

Guinée compte 1.163 cas confirmés. 7 morts et 246 guéris.

Le Niger compte 701 cas confirmés, 29 morts et 385 guéris.

Le Sénégal compte 736 cas confirmés, 9 morts et 284 guéris.

Le Burkina Faso compte 635 cas confirmés, 42 morts et 469 guéris.

Le Mali compte 408 cas confirmés, 23 morts et 113 guéris.

Le Liberia compte 133 cas confirmés, 16 morts et 25 guéris.

Le Cap-Vert compte 109 cas confirmés, 1 mort et 2 guéris.
Le Togo compte 99 cas confirmés, 6 morts et 62 guéris.

La Sierra Leone compte 99 cas confirmés, 4 morts et 10 guéris.

La Guinée-Bissau compte 74 cas confirmés, 1 mort et 3 guéris.

Le Bénin compte 64 cas confirmés, 1 mort et 33 guéris.

La Gambie compte 10 cas confirmés, 1 mort et 8 guéris.

La Mauritanie compte 7 cas confirmés, 1 mort et 6 guéris.

Ainsi, à ce jour, plus de 8.225 cas confirmés de Covid-19 dont 206 morts contre 2.539 guérisons ont été déjà recensés en Afrique de l’Ouest.

 

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Santé

COVID-19 : Qu’est-ce que le variant Omicron?

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L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré « préoccupant » le nouveau variant Omicron (ou B.1.1.529) du coronavirus, signalé le 24 novembre 2021 en Afrique du Sud, estimant que la probabilité d’une nouvelle propagation de ce variant au niveau mondial est « très élevée » de par ses nombreuses mutations.

Omicron est différent des autres variants à cause de son profil génétique. Tandis que le variant Delta, hautement transmissible, comporte 9 mutations sur la protéine Spike, qui joue un rôle essentiel dans l’infection, le variant Omicron compte 32 mutations sur cette protéine, et une cinquantaine en tout.

Depuis son apparition, l´on note un accroissement de la réinfection des personnes vaccinées contre le COVID-19. l’OMS  prévient à cet effet que : « Des cas du nouveau coronavirus sont attendus chez les personnes vaccinées, bien que dans une proportion faible et prévisible ». L´Organisation redoute des « conséquences graves » dans certaines régions du monde.

« L’émergence du variant Omicron hautement muté souligne à quel point notre situation est périlleuse et précaire », a déclaré le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, rappelant qu’une « nouvelle vague de cas et de décès s’abat sur l’Europe » où le variant Delta est largement majoritaire.

Leadernewsci

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Santé

Leopold Abrotchi, interpelle le ministre de la santé « Vous embilissez l´extérieur et laissez la pourriture à l´intérieur »

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Hier mercredi 12 mai 2021, un père, un frère ou peut-être un simple parent, s´indignait du supplice que sa fille souffrante avait subi à l´hôpital de Grand Bassam. «  Hôpital de Grand-Bassam ce matin, 10h30 plus de 4h de temps d’attente en pédiatrie pour des enfants malades toujours pas de consultations, je dénonce la méthode du service public dans nos hôpitaux, aidez-moi à le faire pour la santé de nos enfants  » avait-il écrit.

Ce parent a posté la photographie de la fillette couchée sur le banc de l´hôpital en attente d´être reçu par les infirmiers et ou le médecin de service ce jour-là. Il dénonce ainsi courageusement le mauvais traitement infligé aux patients dans les hôpitaux publics de Côte d´Ivoire. Juste rappeler qu´à Adzopé une dame enceinte est morte pour des complications obstétricales parce que n´ayant pas été prise en charge comme il se devait. https://www.facebook.com/photo?fbid=547313856078294&set=a.511327643010249

Il ne s´agit pas ici d´un acte isolé surtout lorsque la même attitude ou le mem comportement se répète dans plusieurs centres de santé du pays en trainant dans certains cas des drames. A y voir de près, cette scène illustre parfaitement la politique de Santé publique décadente du gouvernement de M. Alassane Ouattara. Politique qui elle-même tire son essence du projet de société du RHDP mise en application depuis 10 ans.

Cette politique de santé publique alassaniste a couté aux contribuables ivoiriens 2.000 Milliards de franc cfa de 2018 à 2020 pour le résultat que nous voyons tous aujourd´hui. Il faut ajout à ce sinistre tableau de gouvernance opaque et obscure la liquidation du système publique de prise en charge. En effet, voulant imiter Macron en France, le gouvernement ivoirien a privatisé son système de santé sous le fallacieux prétexte d´une reforme visant une autonomisation des hôpitaux publics.

La conséquence est que dans une année les pauvres ne pourront plus se soigner même indignement. A Adzopé le ministre de la Santé a vite fait de sanctionner le directeur de l´hôpital, le Big stick ou la doctrine Monroe. Alors monsieur le ministre qu´allez-vous faire pour le cas de Grand Bassam ? Embellir l´extérieur et laisser la pourriture à l´intérieur ? Le peuple n´est pas dupe et ne saurait se satisfaire d´un ajustement structurel mal fait qui produit des résultats désastreux. Nous attendons monsieur le ministre l´ardoise que vous présenterez au peuple pour la troisième année consécutive de marmaille gouvernementale.

Leopold VII Abrotchi

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Internationale

Covid-19/Vaccin: AstraZeneca en mode camouflage

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Le laboratoire Anglo-suédois AstraZeneca est sous les feux de la rampe depuis le lancement de son vaccin anti-covid-19. Pris entre poursuites judiciaires pour delai non tenu et mauvaise publicité, la manoeuvre n´est pas aisée.

Alors nous dit le journal français l´humanité « Face à la défiance, changer les apparences suffira-t-il ? Mercredi, le vaccin AstraZeneca a annoncé qu’il s’appellera désormais Vaxzevria. La composition du produit est inchangée, mais les industriels espèrent peut-être que ce nouveau nom commercial aidera à faire oublier les déboires du plus controversé des vaccins contre le Covid-19 ».

Le journal dresse une Liste noire peu exhaustive des motifs notoirement connus:

« Erreur sur le dosage lors des essais cliniques, manque de données des effets sur les plus de 65 ans et, depuis quelques mois, soupçons de cas de thrombose parfois mortels, retards de livraison des doses. La liste noire s’allonge pour le désormais ex-AstraZeneca. Médecins et autorités sanitaires ont beau clamer leur confiance, le doute s’est installé dans l’opinion publique ».

Le changement de nom d´une marque est une manoeuvre qui dans bien de cas produit des resultats positifs, toutefois previent le confrère « Ce camouflage grossier pourrait avoir l’effet inverse de celui escompté ».

Malgré les cas de thrombose, l´Agence Européenne des Médicaments a maintenu l´usage du vaccin. Le laboratoire qui n´a livré que 30millions de doses sur les 120millions commandées par l´Union Européene, promet  en livrer 50millions de doses d´ici fin Avril 2021.

Leadenewsci

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