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Bolloré Africa logistics semble défier la justice ivoirienne

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Bolloré semble défier la justice ivoiriennne- image d'illustration

Par Leadernewsci, le 06 Decembre 2019

Depuis 2002 un litige portant sur des droits personnels, mobiliers voire de créances et sommes d’argents se pose entre la société Bolloré Africa Logistics, la sociéte CMA-CGM et le SIPA RECHAPAGE RIMEC qui s’est pourvu devant des juges suprêmes avec décisions judiciaires inobservés

 

Victime des agissements de DELMAS devenue CMA CGM d’une part, et de d’autre part de SDV CI devenue SDV SAGA CI, BOLLORE AFRICA LOGISTICS CI puis BOLLORE TRANSPORT & LOGISTICS CI, la société SIPA RECHAPAGE RIMEC a confié son sort à la justice. Depuis 2002, elle a gagné toutes les procédures au mépris de son interlocuteur qui défie les décisions rendues, et tente d’abuser des manœuvres dilatoires, procédurière, bureaucratiques, technocratiques et ploutocratiques de défiance, d’obstruction et d’entrave à la justice.. Il reste néanmoins à souhaiter que le respect et l’exécution des décisions de justice soient encouragés par tous. Ci-dessous la lettre la plus récente adressée par le consultant de SIPA RECHAPAGE RIMEC aux Bolloré. Père et fils, respectivement Vincent Bolloré, Président Fondateur et Cyrille Bolloré, Président Directeur Général du Groupe Bolloré.

« Abidjan, le 9 septembre 2019

Monsieur Vincent Bolloré
Président Fondateur
et Monsieur Cyrille Bolloré
Président Directeur Général
du Groupe Bolloré

Monsieur les Présidents,

Monsieur Ludovic Branger a eu l’honneur de me charger de vous informer de la signification commandement adressée le 3 septembre 2019, à CMA CGM, entrant dans les droits de la société DELMAS et la société CMA CGM C, comme stipule le paragraphe 2 du pouvoir, en date du 10 juillet 2017, signé par Monsieur Mathieu Friedberg, Directeur Commercial et du Réseau d’agences CMA CGM SA Marseille.

Comme vous le savez, il vous a déjà transmis la signification commandement en date du 2 septembre 2019, adressée à Bollore Transport & Logistics CI entrant dans les droits de SDV CI devenue SDV SGA CI puis Bollore Africa Logistics CI Il s’indigne de la fausseté, de la légèreté et de l’incongruité des déclarations à son huissier instrumentaire de Madame Achy et de Madame Soumahoro, respectivement Assistante de Direction de Bollore Transport & Logistics CI et Assistante Juridique de CMA CGM CI, illustrant le déni de droit, la manœuvre dilatoire, procédurière, bureaucratique, technocratique opacifiant la trajectoire juridique.

Il dénonce l’imposture qui ne peut plus prospérer, en appelant leur attention sur la Grosse Irrecevabilité Arrêt N° 435 / 19 en date du 23 août 2019, stipulant la Cour Suprême, Cour de Cassation, réunie en Assemblée Plénière, a rendu en l’audience publique de ce jour, l’arrêt suivant :

Sur la requête présentée le 14 décembre 2017 par Madame le Procureur près la Cour Suprême pour le compte de la
1. société CMA CGM, venant aux droits de la société DELMAS,

2. la société SDV SAGA CI aux fins de règlement d’un arrêt N° 99 rendu le 9 février 2017 par la Chambre Judiciaire au profit de la société SIPA RECHAPAGE RIMEC

Je n’arrive pas à cerner les raisons et les justifications qui fondent le refus catégorique de SDV CI devenue SDV SAGA CI devenue BOLLORE AFRICA LOGISTICS CI puis BOLLORE TRANSPORT & LOGISTICS CI et DELMAS devenue CMA CGM venant aux droits de la société DELMAS et de la société CMA CGM CI, de réparer financièrement les préjudices qu’elles ont causés injustement à SIPA RECHAPAGE RIMEC depuis 2002, sans avoir conscience de la responsabilité devant l’histoire économique de la Côte d’Ivoire, locomotive de la croissance économiques dans la zone de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), pôle de développement sous régional d’intégration aux communautés économiques régionales et à l’économie mondiale, qu’elles portent sur le basculement de l’image et du prestige des entreprises françaises dans les opinions publiques africaine et mondiale, dans la presse écrite, en ligne et sur les réseaux sociaux, en terme de dégâts par rapport à la concurrence, aux enjeux du développement, aux reformes et pratiques en cours de bonne gouvernance juridique et judiciaire, exigence d’Etat de droit en Côte d’Ivoire, sur les chantiers de la reconstruction, de l’expansion économique vers l’émergence à l’horizon 2020.

Dans toute entreprise multinationale, il y’a des visionnaires au leadership avéré, des idéologues amateurs, des théoriciens qui ne maîtrisent pas la saine appréciation de la réalité et du contexte, des médiocres qui se nourrissent des intrigues, des litiges à frais et honoraires d’avocats exorbitants, des ingénieries financières corruptrices et corruptibles ainsi que de passes droits, des coups bas, du combat sous la ceinture, de la logique de confrontation et de la sourde guerre d’influence, au lieu du débat de fond, de la bataille d’arguments à faire valoir par les preuves irréfutables, cohérentes, transparentes et traçables. Ils préfèrent toujours la théorie du chaos au simple, rentable, approprié, définitif et durable arrangement amiable du litige qui met fin à l’obstination judiciaire et à la saignée financière dont ils tirent profit en coupe réglée, dans l’opacité abusive, arrogante, corruptrice et vexatoire.

Monsieur Branger est d’avis que l’asphyxie financière dans laquelle les deux sociétés multinationales françaises (DELMAS devenue CMA CGM et SDV CI devenue SDV SAGA CI devenue BOLLORE AFRICA LOGISTICS CI puis BOLLORE TRANSPORT & LOGISTICS CI l’ont plongé, en refusant de se soumettre aux obligations judiciaires et financières (paiement obligatoire et exécutoire de 252.580.356 FCFA à SIPA RECHAPGGE RIMEC depuis 2004), ordonnées par les juridictions ivoiriennes souveraines, indépendantes, impartiales et équitables, constitue la raison principale, pensée, planifiée, organisée, assumée par les Hautes Directions des deux sociétés multinationales françaises à Puteaux, Le Havre, Abidjan, Marseille, de son taux élevé de surendettement, sur fond de piétinement, d’enlisement, de pourrissement de sa proposition de formalisation de l’arrangement amiable comme mode alternatif de règlement du différend financier vieux de 17 ans, dans le seul but de l’humilier, de l’affaisser, de projeter de lui l’image d’abonné à la délinquance financière, face à deux multinationales françaises au poids économique significatif sur l’économie ivoirienne, aux ressources financières substantielles, à la capacité de nuisance exponentielle et à’l’influence prédatrice tentaculaire, sur fond de copinage, de solidarité de classe, de réseautage, de puissance d’argent dans l’arbitraire, l’abus, l’injustice, l’arrogance.

En dépit de tous ces désavantages comparatifs, SIPA RECHAPAGE RIMEC a remporté des bailles judiciaires éclatantes au Tribunal de Première Instance d’Abidjan Plateau en 2004, la Cour d’Appel en 2005, la Cour de Cassation en 2006, la Cour Suprême en 2007 et 2017, la Cour de Cassation de la Cour Suprême en 2019 contre DELMAS devenue CMA CGM, contre SDV CI devenue SDV SAGA CI devenue BOLLORE AFRICA LOGISTICS

Il salue le courage, l’honnête, l’expérience, l’expertise et la mobilisation professionnelle des hommes et des femmes d’intégrité, de probité, d’incorruptibilité, animant en toute indépendance la mise en oeuvre effective des reformes de bonne gouvernance juridique et judiciaire en Côte d’Ivoire, à la satisfaction du Mécanisme Africain d’Évaluation par les Pairs de l’Union Africaine (MAEP) et du Millénium Chalenge Corporation des Etats Unis d’Amérique (MCC).

Depuis le 4 septembre 2019, dans la zone aéroportuaire de Port-Bouet, la société Bollore Transport & Logistics CI, filiale du Groupe Bollore, a entamé les activités de son aérohub, dont le coût global de la première phase du projet est estimé à 4,5 milliards FCFA.
Vu l’importance du projet dont le coût final sera à terme porté à 8 milliards FCFA, l’on aurait logiquement, raisonnablement, objectivement pensé, sous le prisme de l’apaisement et de la désescalade, que Monsieur Thierry Ehrenbogen, représentant à l’inauguration de l’infrastructure, Monsieur Cyrille Bollore, Président Directeur Général du Groupe Bollore, aurait mis à profit son séjour à Abidjan, pour rencontrer Monsieur Ludovic Branger, lui remettre un pouvoir et le Dit Droit, à l’effet de parvenir à un arrangement amiable et mettre un terme définitif au litige vieux de 17 ans.

Il convient de noter utilement que dans la période d’expansion économique de la Côte d’Ivoire, le renforcement des investissements et du capital humain à coup de milliards FCFA, par Bollore Transport & Logistics CI, ne peut pas être compatible avec ses défaites judiciaires face à SIPA RECHAPAGE RIMEC, au niveau de la Cour Suprême en 2017 (Arrêt N° 99 / 17 du 9 février 2017) et de la Cour de Cassation de la Cour Suprême en 2019 ( Arrêt N° 435 / 19 du 27 juin 2019), ouvrant la voie à l’exécution forcée des décisions de justice, avec le concours de la force publique, par voie de saisie de ses biens corporels et incorporels par l’huissier instrumentaire, dans le contexte de la mise en oeuvre effective des reformes et pratiques de bonne gouvernance juridique et judiciaire, exigence d’Etat de droit.

Messieurs Vincent Bollore et Cyrille Bollore doivent comprendre, anticiper et éviter les risques juridiques des projets du Groupe Bollore, en trouvant rapidement une solution opérationnelle légale, appropriées, définitive et durable au litige opposant depuis 2002 SIPA RECHAPAGE RIMEC à DELMAS devenue CMA CGM et à SDV CI devenue SDV SAGA CI devenue Bollore Africa Logistics CI puis Bollore Transport & Logistics CI.
A cet effet, le temps presse.Toute opportunité manquée pour mettre en scelle la formalisation de l’arrangement amiable comme mode alternatif de règlement du différend financier ou tout retard voulu et prémédité, dans la réparation des préjudices moral et financier, injustement causés à SIPA RECHAPAGE RIMEC, fait jouer le temps d’opportunité et de faisabilité, contre la partie rusant et usant de manœuvres dilatoires, de défiance, d’obstruction, d’entrave à la justice, par rapport à l’évolution, à l’enjeu, au contexte, à l’état d’esprit et à la ligne de fracture du litige.

De 2004 à 2019, les intérêts légaux courent toujours sur le principal (252.580.356 FCFA) dont le paiement obligatoire à SIPA RECHAPAGE RIMEC, n’a jamais fonctionné dans les faits, est ordonné par les juridictions compétentes ivoiriennes telles que le Tribunal de Première Instance d’Abidjan Plateau en 2004, la Cour d’Appel en 2005, la Cour de Cassation en 2006, la Cour Suprême en 2007 et 2017, la Cour de Cassation de la Cour Suprême en 2019. Au surplus, j’ajoute qu’il y’a également la perte d’exploitation de SIPA RECHAPAGE RIMEC dont l’évaluation financière a déjà été confiée au Cabinet ivoirien Fiduciaire Internationale d’Expertise Comptable et d’Audit (FIDEXA) par la Cour Suprême, le 9 février 2017. FIDEXCA a déjà rédigé et déposé son rapport d’évaluation de la perte d’exploitation en avril 2017, à la Chambre Judiciaire de la Cour Suprême.

À l’allure des circonstances défavorables de blocage, de piétinement, d’enlisement et de pourrissement du règlement amiable du litige, liées à l’immobilisme du premier pas à la reprise du dialogue, au silence abusif et vexatoire, à une approche participative, constructive et inclusive tournée en dérision, à l’inaction austère, négligente et réductrice, au déni de droit de réponse aux multiples propositions d’arrangement amiables cohérentes, transparentes et traçables par courriel, à votre attention, dans une économie digitalisée où la signature numérique et l’accusé de lecture numérique sont des preuves littérales irréfutables en droit des affaires, concernant la transmission urgente par vos soins, du pouvoir et de l’Avant Dire Droit (ADD),

Monsieur Branger me charge d’appeler votre attention sur sa déception, tant par votre culpabilité de cécité volontaire que par votre obstination judiciaire infructueuse à ce jour, au détriment de la voie de la raison,(règlement amiable du différend financier) sur fond de failles, faiblesses, insuffisances, manquements, risques, écarts de résultats liés au déficit d’observation, de communication bilatérale, d’analyse, de décryptage, de compréhension et d’interprétation des faits relatifs non seulement au litige mais aussi à la méconnaissance criarde de la typologie d’homme, de la personnalité et du personnage de Monsieur Ludovic Branger, ainsi que du bien fondé.

Source: laconnectionivoiriennne.net

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Côte d´ivoire, comment Alassane Ouattara va verrouiller 2025?

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Alassane Ouattara, Président de la république de Côte d´Ivoire

Après les élections régionales, municipales et sénatoriales, le president de la République monsieur ALassane Ouattara a tenu un Conseil des Ministre le Jeudi 28 Septembre 2023. 

Le gouvernement ivoirien fait face au scandale du stade de Ebimpé, à celui du racket et de l´extorsion de fonds orchestré par des unités de  son armée. Des scandales de trop qui ne laissent personne indifférent dans le pays . C´est dans ce contexte que  M. Alassane Ouattara annonce un remaniement à deux ans des prochaines élections présidentielles.

En effet, lors de cette réunion le Chef de l´État, Alassane Ouattara, a annoncé, un remaniement ministériel prévu dans les prochaines semaines, après la mise en place du Sénat. Bien avant, le Chef de l´Etat procedera à la nomination du nouveau président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, du Grand Chancelier de l’Ordre National et celle du président de la Cour de Cassation.

Au déla de l´autosatisfeci ce remaniement semble indiquer  que le Chef de l´État affuterait ses armes pour les élections présidentielles de 2025.

Pour l´heure rien n´a filtré quant à la liste définitive et surtout au nombre de ministres, ce qui ouvre la porte à toute sorte de spéculation.

Saint Léo

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Stade d´Ebimpé: LeopoldVII Abrotchi demande le limogeage du Ministre

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Leopold VII Abrotchi, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte d´Ivoire

L´affaire du stade d´Ebimpé a fait couler beaucoup d´encre et de salive en Côte d´Ivoire, mais surtout de nombreux ivoiriens n´en revenait pas de la déclaration du porte-parole du gouvernement qu affirmait péremptoirement que personne ne sera sanctionnée pour une pluie exceptionnelle. Le Président du parti politique ivoirien Alternative Nouvelle pour la Côte d´Ivoire a dans une lettre ouverte adressée au président de la République monsieur Alassane Ouattara demandé le limogeage du Ministre des sports.

Ci-dessous l´integralité de sa missive à attention de au Chef de l´État, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara.

Objet : Demande de Limogeage du ministre des Sports de Côte d’Ivoire

Excellence, Monsieur le Président,

La construction du Stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé, officiellement inauguré le 3 octobre 2020, a coûté au contribuable ivoirien la somme colossale de 143 milliards. Sa réhabilitation, seulement 13 mois après, a englouti 20 milliards supplémentaires.

Excellence Monsieur le Président,

Le peuple de Côte d’Ivoire se retrouve, une fois de plus, face à une déception cuisante. En effet, le mardi 12 septembre 2023, lors du match amical Côte d’Ivoire – Mali, le stade fraîchement rénové a été le théâtre d’une véritable tragédie. La pluie s’est abattue, révélant les graves lacunes des travaux de réfection de la pelouse. Le système de drainage, manifestement inexistant, s’est avéré défaillant. Ce fut une honte, criée de tous côtés.

Malgré plusieurs mois de travaux et le premier test, une pluie d’une durée inférieure à 30 minutes, la cabine de presse et certaines zones du stade ont été inondées, devenant ainsi inutilisables. Au lieu de la pelouse hybride de qualité mondiale promise, pour laquelle 20 milliards avaient été investis, les Ivoiriens ont découvert une pelouse naturelle de piètre qualité.

Le Ministre des Sports, un expert autoproclamé dans son domaine, avait déclaré avec une assurance convaincante que : « Ce montant s’explique par notre décision de refaire intégralement la pelouse aux normes internationales, en utilisant de nouvelles techniques pour obtenir une pelouse hybride, à la fois synthétique et naturelle. Nous serons donc l’un des rares stades en Afrique à posséder une telle pelouse. De plus, d’autres travaux ont été programmés pour faire de ce stade l’un des meilleurs au monde. » Cependant, la réalité contraste vivement avec ces déclarations.

Excellence Monsieur le Président,

Nous souhaitons attirer votre attention sur la tendance à minimiser les efforts consentis par le contribuable ivoirien par le ministre des Sports. En effet, dans l’après-midi du jeudi 14 septembre 2023, après ses excuses publiques, votre ministre des Sports a annoncé devant la presse nationale et internationale que la remise en état de la pelouse n’a coûté que 2 000 000 000 FCFA, au lieu des 20 000 000 000 FCFA précédemment annoncés. Cette contradiction remet en question l’appel devant le Sénat pour une rallonge budgétaire de 20 milliards FCFA destinée à la rénovation complète. Qui assumera les coûts de cette nouvelle réhabilitation ? Où est passé le reste des 20 milliards supplémentaires obtenus ? À quoi cet argent a-t-il été réellement alloué, puisque votre Ministre soutient que 2 000 000 000 FCFA ont suffi pour cette tâche ? De plus, un bon d’exécution de 8 501 429 180 FCFA circule sur les réseaux sociaux, suscitant de nombreuses interrogations légitimes parmi les Ivoiriens. Le ministre des Sports a perdu la confiance du peuple.

Excellence Monsieur le Président,

Compte tenu de ce qui précède et des dépenses excessives engagées pour mettre en conformité le Stade d’Ebimpé, soit un total de 163 milliards, nous sollicitons respectueusement votre intervention afin de limoger purement et simplement votre ministre des Sports pour son inefficacité dans la gestion de la rénovation de la pelouse. Il n’a pas respecté les engagements pris devant la représentation nationale, et il donne l’impression d’agir avec légèreté dans cette affaire. Pour des travaux d’une telle médiocrité, coûtant seulement 2 milliards de FCFA, il est impératif qu’il soit relevé de ses fonctions. De plus, nous vous prions instamment de diligenter une enquête technique et financière sur tous les ouvrages sous sa responsabilité. En ces temps de difficultés économiques, où le pouvoir d’achat des Ivoiriens est sérieusement affecté par une inflation incontrôlée, il est crucial de restaurer la confiance du peuple. Dans tous les cas, nous prévoyons de remporter les élections en 2025 et de rétablir une gouvernance transparente dans la gestion des affaires publiques.

Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Président, l’expression de notre plus haute considération.

Leopold VII Abrotchi, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte d´Ivoire

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Élections 2023: « Ces résultats ne garantissent pas la victoire du RHDP en 2025 »

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Leopold Abrotchi, écrivain, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte D'Ivoire

C’est par le suffrage direct que sont choisis les gouvernants locaux à savoir les Maires de nos communes et les Présidents de Conseils Régionaux de nos régions. Ainsi le 02 septembre 2023, les ivoiriens appelés aux urnes « ont choisi » leurs gouvernants locaux. Les résultats provisoires de ces élections dont la crédibilité est remise en cause par plusieurs candidats de diverses régions attendent d´être confirmés ou infirmés. Nous livrons ici la première partie de notre analyse.

Ces résultats montrent grosso modo, que premièrement :

Moins de la moitié des citoyens contribuables inscrits ne se sont pas déplacés pour voter.

Deuxièmement, le RHDP (Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la Paix) le Parti-État a remporté la majorité des sièges des mairies et des régions, ce qui semble montrer la vitalité du parti au pouvoir depuis bientôt 15 ans. Dans le même temps, cette victoire fait croire à une implantation nationale réussie.

La manipulation qui en sera faite visera à montrer la popularité du parti au pouvoir et par ricochet, l’affirmation d’une majorité garantie pour l’élection présidentielle de 2025.

Dans les faits, nous notons que pour une grande partie des cas, le RHDP a gagné avec moins de cinquante pourcent (- 50%) voire (-45%).

En clair, il y a un rejet de l’offre politique du RHDP de l’ordre de 55%. Cette réalité parlante, va s’aggraver avec l’inflation, le manque d’emploi, la catastrophe éducative, les difficultés d’accès aux soins, les détournements de fonds impunis et autres engagements non tenus.

En 2025, les ivoiriens attendent une offre politique Alternative, pour mettre fin à l’offre impopulaire du RHDP. En clair, la présidentielle prochaine s’annonce épique et certainement le RHDP perdra cette élection si les ivoiriens font le bon choix.

Ce choix est l’offre que propose Alternative Nouvelle Pour la Côte D’Ivoire.

Leopold VII Abrotchi,

Président de Alternative

Nouvelle Pour la Côte D’Ivoire

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