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« Le temps d´une alternative nouvelle est arrivé »

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Leopold Abrotchi, écrivain, Alternative Nouvelle

L´espace politique ivoirien qui ne tarit pas de partis, de groupements et de mouvement politiques, s´apprête à accueillir une nouvelle organisation. LeaderNewsci, votre journal est allé à la rencontre d´un des membres fondateurs d´Alternative Nouvelle.

1- Présentez-vous à nos lecteurs et présentez-nous la structure politique que vous avez fondée ?

Avant tout propos je tiens à vous remercier pour la considération apportée à notre mouvement politique. Je suis Leopold Adou Agnouwol Abrotchi, je suis linguiste, écrivain et membre fondateur d’Alternative Nouvelle. Alternative Nouvelle est constitué de citoyens libres, jouissant de la totalité de leurs droits civiques constitutionnels. Nous sommes la somme des aspirations frustrées du peuple de Côte d´Ivoire pour un futur meilleur. Nous sommes la voix du changement du système de gouvernance opérant actuellement dans notre pays. Nous sommes l´alternative Nouvelle. Nous défendons les droits des citoyens, c´est -à – dire les droits inaliénables de chacun d´entre nous : le droit à la liberté d´expression et d´opinion, surtout politique, le droit à la justice pour tous, le droit à la sécurité – alimentaire, sociale, sanitaire, le droit à la sécurité des biens et des personnes et enfin, le droit à l´éducation pour tous.

Nous défendons les principes de la Démocratie et les valeurs de la République, car nous estimons que ces deux piliers demeurent le socle pour un bonheur social équitablement partagé dans un environnement durablement apaisé.

2- Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à mettre sur pied ce nouvel outil politique ?

A Alternative Nouvelle, nous aspirons bâtir une Côte d´Ivoire souveraine, unie, juste, prospère et solidaire. Notre mouvement politique est né suite à un constat d´une longue série d´échec des forces politiques à consolider la construction de l´Etat-Nation ivoirien ou à poursuivre l´édification de la nation ivoirienne amorcée à l´accession à l´indépendance en 1960. Pour faire court, je vous prendrai un élément, à savoir la politique. A ce niveau, les partis politiques et leurs satellites ont mal pris les virages de l´histoire électorale du pays, leurs successifs dérapages ont conduit la Côte d´Ivoire dans un état de belligérance que nous pouvons appeler « la guerre de 30 ans ». C´est – à – dire que de 1990 à 2020, chaque élection présidentielle est un moment fatidique de confrontations sanglantes, soigneusement préparées par chaque état-major, chacun allant avec ses moyens. Ce qui démontre un refus quasi systématique des gouvernement successifs de mettre en place d´un cadre durablement viable, impartial c´est-à-dire apolitique et professionnel pour l´organisation des élections. Cela se voit aussi avec les tripatouillages constitutionnels et les ambiguïtés suscitées à dessein dans l´interprétation de certains articles du code électoral pour créer la confusion juridique. Ne parlons pas du découpage électoral mesquin régulièrement dénoncé, mais qui demeure encore et toujours à l´avantage du parti au pouvoir. Ce chapitre est long, pour l´écourter, je dirai que toutes ces manigances qui aboutissent chaque fois à la tuerie des citoyens ivoiriens visent la conservation du pouvoir d´Etat. Cet État si cher à nos grands-parents qui ont combattu le colon au prix de leur vie est aujourd´hui dénaturé. Il est devenu dangereusement le parti-Etat ou l´État-Parti. Autrement dit, on ne sait plus distinguer l´État, le gouvernement et le Parti politique au pouvoir, de sorte que les militants du parti au pouvoir, pensent et ou affirment être l´État. Or substantiellement, l´État, le nôtre est républicain, c´est-à-dire une chose publique, la propriété commune du peuple, ce qui oblige son chef – le chef de l´État à recourir au suffrage universel.

3- Peut-on connaître vos ambitions à court, moyen et long terme ?

Notre objectif à court terme est la réalisation de notre première Convention Nationale, dans le mois d´Aout, pour nous c’est l’événement majeur en cette année 2023. Cette Convention est l’élément catalyseur de notre mouvement, mais aussi et surtout un moyen pour nous de structurer de façon interne par la confirmation ou l´élection du bureau exécutif national et de façon externe par notre constitution juridique et administrative. A cela il faut ajouter bien évidemment notre participation aux élections municipales de cette année. A moyen terme l´installation de nos coordinations au niveau national et dans la diaspora avec en ligne de mire la présidentielle de 2025 et les législatives. Sur le long terme, continuer le maillage du territoire national, mieux faire connaitre notre projet de société qui sera prêt fin 2024, poursuivre la formation politique du peuple de Côte d´Ivoire aux valeurs républicaines et démocratiques conformément à la constitution de 2016 en son article 14.

4- Pensez-vous véritablement que votre nouvelle démarche politique sera appréciée et appréhendé sitôt par les Ivoiriens ?

Bien sûr, mouvement politique sera adoubée par le peuple de Côte d´Ivoire. Vous savez, la demande d´une nouvelle offre politique est très forte. Les ivoiriens fatigués de l´état de belligérance des 30 dernières années, déçus par des engagements non tenus des régimes qui se sont succédés au pouvoir veulent essayer autre chose, mais quoi ? Nous répondons à leurs attentes, nous irons à la rencontre de leurs aspirations dans notre projet de société intuitif.

5- Quelle lecture faites-vous de l’actualité ambiante de la politique ivoirienne ?

Je suis peiné de voir le bricolage du gouvernement face à la baisse du pouvoir d´achat des ivoiriens, lesquels vivent aujourd’hui la cherté de la vie comme une fatalité. 3000 docteurs formés sur orientation de l´État qui sont sans emploi, qu´en sera-t-il des promotions futures ? La haine encore vivace, l´état de belligérance toujours présent dans le milieu politique, là nos efforts devraient se concentrer sur la consolidation de la cohésion sociale par la réconciliation. Ne mettons pas notre poussif État-Nation en péril. Il faut une alternative à tout cela. Force est de constater qu´il y a beaucoup à faire encore aujourd´hui.

6- Quel regard portez-vous sur la gestion des affaires de l’état par l’actuel parti au pouvoir, le RHDP ?

Il y a deux cotés comme sur une médaille. Le côté face c´est le Doing business, avec un environnement des affaires amélioré, il faut le reconnaitre, même si l´État peut mieux faire. Les infrastructures de mobilités ou de communication relookées pour les existants et ou concrétisées pour les anciens projets, en douze (12) années de gouvernance. Il faut féliciter le gouvernement pour réalisation de ces chantiers.

Le pile c´est-à-dire, le côté sombre de cette gestion est la mauvaise gouvernance. Malheureusement on ne peut la cacher, tant elle est manifeste. La gabegie est outrancière, les malversations d´un haut niveau ; la corruption et les détournements de fonds publics sont devenus un cancer qui discrédite notre pays. C´est le flou artistique dans la gestion du budget de l´État, cette opacité systémique empêche naturellement toute transparence. Vous remarquerez qu´aujourd´hui comme dans les 30 décennies passées, les détourneurs du dénier public sont dans leur grande majorité des partisans du parti au pouvoir. C´est aussi la dette colossale que le chef de l´état va laisser à notre génération et aux futures. Il beaucoup à dire au niveau de la très mauvaise gouvernance étatique que le peuple ivoirien subi et pire encore aujourd´hui, cependant, je m´arrêterai sur la calamité éducative de ces dix (10) dernières années, avec le saccage du système éducatif ivoirien.

Malgré tout, nous invitons les ivoiriens à garder espoir, car la mauvaise gouvernance n´est pas une fatalité. Et d´ailleurs nous sommes l´Alternative Nouvelle à cette mal gouvernance.

7- Bientôt, votre parti fera son entrée officielle dans le microcosme politique ivoirien, avez-vous des appréhensions face aux partis existants ?

L´environnement politique ivoirien a été sévèrement dégradé, et compulsif avec une personnalisation du débat, raison pour laquelle nous venons apporter notre contribution. Franchement nous n´avons aucune appréhension, la république et son peuple n´est la chasse gardée d´aucun parti politique. Cette vérité tout le monde le vit au jour le jour. Nous avons décidé de ne pas attendre 50 ans pour avoir des ambitions politiques, des convictions et un projet de société. Nous sommes la nouvelle offre politique ivoirienne, nous sommes l´Alternative Nouvelle. Nous souhaitons que ce soient les idées, les projets qui cristallisent l´attention du public politique et non les hommes. Notre fétiche à nous c´est notre idéologie, c´est notre projet de société, pas un homme.

8- Pour les futurs enjeux électoraux allez-vous, vous unie avec des mouvements ou partis politiques ?

Laissez-nous le temps de nous constituer dans un premier temps. Ensuite nous évaluerons les enjeux au cas par cas. Je tiens à rappeler à toute fin utile, que ces élections visent la gouvernance locale. Autrement dit elles ne sont pas politiques, comme les législatives ou la présidentielle. Nous déciderons de la marche à suivre mi-septembre 2023.

9- Avez-vous un appel à lancer à la Nation ivoirienne dans son entièreté ainsi qu’aux amis de la Côte d’Ivoire, qui résident en terre ivoirienne ?

Nous disons aux ivoiriens:  « ne désespérez pas des politiciens, car une nouvelle génération est née et prend sa place sur l´échiquier ». Nous leur disons encore qu´il n´y a pas de fatalité, qu´il est encore possible de bâtir une Côte d´Ivoire souveraine, unie, juste, prospère et solidaire. Il existe une alternative à la mauvaise gouvernance, à l´état de belligérance, au népotisme, au clanisme, à l´ethnocentrisme. Nous appelons tous les ivoiriens du sud, du nord, de l´est et de l´ouest qui rêvent d´une alternative au système de gouvernance actuel à se joindre à nous pour opérer les changements auxquels nous aspirons tous.

Aux amis de notre pays, je leur dis rassurer vous nous continuerons à bâtir ensemble la Cote d´ivoire, dans le respect de nos lois. Pour la Côte d´Ivoire sera toujours le pays de l´hospitalité.

10- Quel est votre mot de fin ?

Merci à vous et à vos lecteurs, nous espérons vous compter parmi nous en Août prochain.

Que Dieu bénisse la Côte d´Ivoire et nous garde.

Réalisé par Leadernewsci

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Côte d´ivoire, comment Alassane Ouattara va verrouiller 2025?

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Alassane Ouattara, Président de la république de Côte d´Ivoire

Après les élections régionales, municipales et sénatoriales, le president de la République monsieur ALassane Ouattara a tenu un Conseil des Ministre le Jeudi 28 Septembre 2023. 

Le gouvernement ivoirien fait face au scandale du stade de Ebimpé, à celui du racket et de l´extorsion de fonds orchestré par des unités de  son armée. Des scandales de trop qui ne laissent personne indifférent dans le pays . C´est dans ce contexte que  M. Alassane Ouattara annonce un remaniement à deux ans des prochaines élections présidentielles.

En effet, lors de cette réunion le Chef de l´État, Alassane Ouattara, a annoncé, un remaniement ministériel prévu dans les prochaines semaines, après la mise en place du Sénat. Bien avant, le Chef de l´Etat procedera à la nomination du nouveau président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, du Grand Chancelier de l’Ordre National et celle du président de la Cour de Cassation.

Au déla de l´autosatisfeci ce remaniement semble indiquer  que le Chef de l´État affuterait ses armes pour les élections présidentielles de 2025.

Pour l´heure rien n´a filtré quant à la liste définitive et surtout au nombre de ministres, ce qui ouvre la porte à toute sorte de spéculation.

Saint Léo

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Stade d´Ebimpé: LeopoldVII Abrotchi demande le limogeage du Ministre

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Leopold VII Abrotchi, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte d´Ivoire

L´affaire du stade d´Ebimpé a fait couler beaucoup d´encre et de salive en Côte d´Ivoire, mais surtout de nombreux ivoiriens n´en revenait pas de la déclaration du porte-parole du gouvernement qu affirmait péremptoirement que personne ne sera sanctionnée pour une pluie exceptionnelle. Le Président du parti politique ivoirien Alternative Nouvelle pour la Côte d´Ivoire a dans une lettre ouverte adressée au président de la République monsieur Alassane Ouattara demandé le limogeage du Ministre des sports.

Ci-dessous l´integralité de sa missive à attention de au Chef de l´État, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara.

Objet : Demande de Limogeage du ministre des Sports de Côte d’Ivoire

Excellence, Monsieur le Président,

La construction du Stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé, officiellement inauguré le 3 octobre 2020, a coûté au contribuable ivoirien la somme colossale de 143 milliards. Sa réhabilitation, seulement 13 mois après, a englouti 20 milliards supplémentaires.

Excellence Monsieur le Président,

Le peuple de Côte d’Ivoire se retrouve, une fois de plus, face à une déception cuisante. En effet, le mardi 12 septembre 2023, lors du match amical Côte d’Ivoire – Mali, le stade fraîchement rénové a été le théâtre d’une véritable tragédie. La pluie s’est abattue, révélant les graves lacunes des travaux de réfection de la pelouse. Le système de drainage, manifestement inexistant, s’est avéré défaillant. Ce fut une honte, criée de tous côtés.

Malgré plusieurs mois de travaux et le premier test, une pluie d’une durée inférieure à 30 minutes, la cabine de presse et certaines zones du stade ont été inondées, devenant ainsi inutilisables. Au lieu de la pelouse hybride de qualité mondiale promise, pour laquelle 20 milliards avaient été investis, les Ivoiriens ont découvert une pelouse naturelle de piètre qualité.

Le Ministre des Sports, un expert autoproclamé dans son domaine, avait déclaré avec une assurance convaincante que : « Ce montant s’explique par notre décision de refaire intégralement la pelouse aux normes internationales, en utilisant de nouvelles techniques pour obtenir une pelouse hybride, à la fois synthétique et naturelle. Nous serons donc l’un des rares stades en Afrique à posséder une telle pelouse. De plus, d’autres travaux ont été programmés pour faire de ce stade l’un des meilleurs au monde. » Cependant, la réalité contraste vivement avec ces déclarations.

Excellence Monsieur le Président,

Nous souhaitons attirer votre attention sur la tendance à minimiser les efforts consentis par le contribuable ivoirien par le ministre des Sports. En effet, dans l’après-midi du jeudi 14 septembre 2023, après ses excuses publiques, votre ministre des Sports a annoncé devant la presse nationale et internationale que la remise en état de la pelouse n’a coûté que 2 000 000 000 FCFA, au lieu des 20 000 000 000 FCFA précédemment annoncés. Cette contradiction remet en question l’appel devant le Sénat pour une rallonge budgétaire de 20 milliards FCFA destinée à la rénovation complète. Qui assumera les coûts de cette nouvelle réhabilitation ? Où est passé le reste des 20 milliards supplémentaires obtenus ? À quoi cet argent a-t-il été réellement alloué, puisque votre Ministre soutient que 2 000 000 000 FCFA ont suffi pour cette tâche ? De plus, un bon d’exécution de 8 501 429 180 FCFA circule sur les réseaux sociaux, suscitant de nombreuses interrogations légitimes parmi les Ivoiriens. Le ministre des Sports a perdu la confiance du peuple.

Excellence Monsieur le Président,

Compte tenu de ce qui précède et des dépenses excessives engagées pour mettre en conformité le Stade d’Ebimpé, soit un total de 163 milliards, nous sollicitons respectueusement votre intervention afin de limoger purement et simplement votre ministre des Sports pour son inefficacité dans la gestion de la rénovation de la pelouse. Il n’a pas respecté les engagements pris devant la représentation nationale, et il donne l’impression d’agir avec légèreté dans cette affaire. Pour des travaux d’une telle médiocrité, coûtant seulement 2 milliards de FCFA, il est impératif qu’il soit relevé de ses fonctions. De plus, nous vous prions instamment de diligenter une enquête technique et financière sur tous les ouvrages sous sa responsabilité. En ces temps de difficultés économiques, où le pouvoir d’achat des Ivoiriens est sérieusement affecté par une inflation incontrôlée, il est crucial de restaurer la confiance du peuple. Dans tous les cas, nous prévoyons de remporter les élections en 2025 et de rétablir une gouvernance transparente dans la gestion des affaires publiques.

Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Président, l’expression de notre plus haute considération.

Leopold VII Abrotchi, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte d´Ivoire

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Élections 2023: « Ces résultats ne garantissent pas la victoire du RHDP en 2025 »

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Leopold Abrotchi, écrivain, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte D'Ivoire

C’est par le suffrage direct que sont choisis les gouvernants locaux à savoir les Maires de nos communes et les Présidents de Conseils Régionaux de nos régions. Ainsi le 02 septembre 2023, les ivoiriens appelés aux urnes « ont choisi » leurs gouvernants locaux. Les résultats provisoires de ces élections dont la crédibilité est remise en cause par plusieurs candidats de diverses régions attendent d´être confirmés ou infirmés. Nous livrons ici la première partie de notre analyse.

Ces résultats montrent grosso modo, que premièrement :

Moins de la moitié des citoyens contribuables inscrits ne se sont pas déplacés pour voter.

Deuxièmement, le RHDP (Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la Paix) le Parti-État a remporté la majorité des sièges des mairies et des régions, ce qui semble montrer la vitalité du parti au pouvoir depuis bientôt 15 ans. Dans le même temps, cette victoire fait croire à une implantation nationale réussie.

La manipulation qui en sera faite visera à montrer la popularité du parti au pouvoir et par ricochet, l’affirmation d’une majorité garantie pour l’élection présidentielle de 2025.

Dans les faits, nous notons que pour une grande partie des cas, le RHDP a gagné avec moins de cinquante pourcent (- 50%) voire (-45%).

En clair, il y a un rejet de l’offre politique du RHDP de l’ordre de 55%. Cette réalité parlante, va s’aggraver avec l’inflation, le manque d’emploi, la catastrophe éducative, les difficultés d’accès aux soins, les détournements de fonds impunis et autres engagements non tenus.

En 2025, les ivoiriens attendent une offre politique Alternative, pour mettre fin à l’offre impopulaire du RHDP. En clair, la présidentielle prochaine s’annonce épique et certainement le RHDP perdra cette élection si les ivoiriens font le bon choix.

Ce choix est l’offre que propose Alternative Nouvelle Pour la Côte D’Ivoire.

Leopold VII Abrotchi,

Président de Alternative

Nouvelle Pour la Côte D’Ivoire

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