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Elections 2020: la diaspora ivoirienne en Suisse s’adresse à Alassane Ouattara

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Berne, 15 février 2020: Les représentants de LIDER, du COJEP, du FIDHOP, du GPS, et de la société civile ivoirienne

 

Le Samedi 15 février 2020, à l’instar de la prière de la paix à la cathédrale St Paul d’Abidjan, et du sit-in au Trocadero à Paris, la coalition des partis politiques d’oppositions et de la société civile ivoirienne en Suisse, s’est retrouvée à Berne, la capitale fédérale helvétique, pour adresser un message au président Alassane Ouattara, afin qu’il engage, urgemment et sans delais, l’identifification et l’enrôlement sur la liste électorale, pour garantir des élections inclusives, libres et transparentes en otobre 2020 en Côte d’Ivoire.


À

Son Excellence

Monsieur Alassane Ouattara

Président de la République de Côte d’Ivoire

Abidjan – Plateau, RCI

Berne, le 15 février 2020

Objet : Election présidentielle d’octobre 2020

 En octobre 2020, les ivoiriennes et les ivoiriens éliront leur nouveau Président de République. À huit (8) mois de cette échéance cruciale pour l’avenir du pays, mais aussi pour sa stabilité et le début de la réconciliation entre ses fils et ses filles, ils nous échoient malheureusement de constater que le mécanisme, devant garantir à cette élection sa crédibilité, son inclusivité et la fidélité de ses résultats à l’expression souveraine du peuple manifestée, est en souffrance, malade de votre volonté évidente de prendre en otage ce processus par le viol du droit fondamental des populations ivoiriennes à exercer leur souveraineté universellement et constitutionnellement acquise : LE VOTE.

Des constats :

En effet, à la veille de l’élection présidentielle d’octobre 2020 :

  • La Commission Electorale Indépendante (CEI), telle que voulue par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, en son arrêt du 18 novembre 2016, confirmé le 28 septembre 2017, n’est pas encore mise en place. Votre volonté d’être joueur et arbitre dans le processus électoral, par un contrôle total de cette institution, la confine encore dans des négociations interminables, qui, de surcroît, portent sur des thèmes en conflit flagrant avec les prescriptions de la cour africaine de justice.
  • Les 6 millions 300 milles électeurs inscrits sur la liste électorale en 2016 ont vu leur carte nationale d’Identité périmées en 2019, et 6 millions 500 milles nouveaux majeurs ivoiriens n’ont toujours pas de pièces d’Identité. Le processus de renouvellement des 6 millions 300 milles cartes périmées en est encore à sa phase pilote, avec un coût dissuasif à double vitesse. En effet, annoncé à 5 000 FCFA, ce coût passe à 10 000 FCFA, du fait du racket des agents de l’ONECI dans leurs locaux. Quant à la question des nouveaux majeurs, deviner le calendrier de l’établissement de leur Carte Nationale d’Identité relève d’un véritable jeu mystique de charlatanisme ; idem pour le calendrier du début de l’enrôlement sur les listes électorales.
  • Le harcèlement contre les opposants et potentiels et/ou candidats déclarés à l’élection présidentielle, mais aussi contre la société civile, a atteint son paroxysme décembre 2019. Nous en voulons pour preuve :
  • La condamnation par contumace en Côte d’Ivoire du président Laurent Gbagbo et du ministre Charles Blé Goudé, président du COJEP, à 20 ans de prison à la suite de procès expéditifs, à rendre jaloux, les tribunaux chiliens sous la dictature Augusto Pinochet.
  • Le mandat d’arrêt international lancé contre Guillaume Soro, député, ex-président de l’Assemblée National et candidat déclaré à la présidentielle, avec un mépris total et déconcertant vis-à-vis de son immunité parlementaire
  • L’emprisonnement de plusieurs députés proches de Guillaume Soro, sans procès et sans considération de leur immunité parlementaire, pourtant constitutionnellement acquis.
  • L’expulsion de la Côte d’Ivoire de Nathalie Yamb, conseillère exécutive du Professeur Mamadou Koulibaly, candidat à l’élection présidentielle, pour des motifs fallacieux, avec une procédure judiciaire lapidaire et sans assistance juridique ;
  • Le harcèlement policier contre les cadres de LIDER (Liberté et Démocratie pour la République), parti politique de Mamadou Koulibaly ;
  • Le musèlement de la société civile, par l’instrumentalisation de la haine religieuse qui a contraint récemment le clergé catholique a renoncé à l’organisation une procession liturgique ä Abidjan pour des élections apaisées en Côte d’Ivoire.
  • Vous avez annoncé votre volonté de modification de la constitution, notamment de ses articles relatifs aux conditions d’éligibilité ; cela à quelques mois de l’échéance électorale

Fort de ces constats, et :

  • Considérant que l’arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples dit que : « l’Etat de Côte d’Ivoire a violé son obligation de créer un organe électoral indépendant et impartial, prévu par I ‘article 17 de la Charte africaine sur la démocratie et I ‘article 3 du Protocole de la CEDEAO sur la démocratie et qu’il a également, par voie de conséquence, violé son obligation de protéger le droit des citoyens de participer librement à la direction des affaires publiques de leur pays, garanti par I ‘article 13 (1) et (2) de la Charte africaine des droits de I ‘homme et des peuples. Et qu’il a aussi violé son obligation de protéger le droit à une égale protection de la loi, garanti par I ‘article 10(3) de la Charte africaine sur la démocratie, I ‘article 3 (2) de la Charte africaine des droits de I ‘homme et des peuples et I ‘article 26 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques ». Et que plus loin, cet arrêt « ordonne à I ‘Etat ivoirien de modifier la loi N° 2014-335 du 18 juin 2014 relative à la Commission Electorale Indépendante pour la rendre conforme aux instruments ci-dessus mentionnes auxquels il est partie » ;
  • Considérant les appels pressants de la société civile ivoirienne, dans sa globalité, à la classe politique pour la mise en place d’une CEI débarrassée de joueurs que sont les partis politiques, aux fins de garantir son impartialité et minimiser les risques de sa manipulation par les politiques ;
  • Considérant qu’au mépris de l’article 6 du code électoral ivoirien, la liste électorale n’est jamais mise à jour annuellement, comme stipulé dans cet article ;
  • Constatant que ce serait faire injure à l’histoire récente de notre pays, mais aussi à l’opinion nationale et internationale, que vous, le démocrate argué, installé à coups des bombes de la France, après l’assassinat par celui-ci, de ses propres soldats et de plusieurs civils ivoiriens aux mains nus, soyez aujourd’hui celui-là même qui soit allergique aux respects des règles élémentaires de la démocratie et des conventions internationales sur les droits de l’homme, que vos alliés d’hier, la communauté internationale, revendiquent fermement défendre.
  • Considérant le recul démocratique, que vous institutionnalisez, indigne des longues années de crise que la Côte d’Ivoire a connu avec son lot de martyrs, depuis le charnier de Yopougon, jusqu’au génocide du peuple Wê, en passant par les morts de novembre 2004 et ceux de l’entre-crise postélectorale de 2011 ;
  • Considérant que la précarité dans laquelle vivent les ivoiriens, à savoir, la sous-alimentation, le chômage, la sous-éducation, l’absence d’accès aux soins sanitaires, la misère, ne permet pas à la Côte d’Ivoire de s’accommoder d’une autre crise électorale, synonyme de désespoir et d’émigrations encore plus massives ;
  • Considérant la fragilité du tissu social ivoirien, marquée par la division des populations, les mutineries, les conflits intercommunautaires ; résultat somme toute de l’échec et/ou du sabotage du processus de réconciliation nationale que vous avez savamment orchestré ;
  • Considérant que seul un processus électoral, transparent, inclusif aboutira à des résultats d’élections acceptés par tous, et partant, établira la confiance des ivoiriens en leur institutions ;
  • Considérant enfin que la souveraineté appartient au peuple, et que la seule manifestation valable de cette souveraineté reste le vote ;

La coalition des partis politiques d’opposition de Côte d’Ivoire et de la Société civile Ivoirienne en Suisse, vous invite urgemment et sans délai, Excellence monsieur le président :

  • À œuvrer à la mise en place d’une CEI exclusivement composée de membre de la société civile et débarrassée des partis politiques ;
  • À rendre à la CEI, son indépendance totale vis-à-vis du pouvoir exécutif que vous représentez ;
  • À proroger la validité, jusqu’en décembre 2020 et au-delà si nécessaire, des cartes d’identités : périmées des 6 millions 300 électeurs, en vue de faciliter la mise à jour de leur statut d’électeurs ;
  • Â entamer sans délais et concomitamment, l’enrôlement sur la liste électorale et l’identification des 6 millions 500 mille nouveaux majeurs, pour la délivrance de leur pièce d’identité ;
  • À œuvrer activement au retour en Côte d’Ivoire de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, mais aussi de tous les exilés ;
  • À surseoir au mandat d’arrêt poussif et abusif lancé contre Soro Guillaume ;
  • À libérer tous les députés emprisonnés ainsi que tous les prisonniers politiques ;
  • À entretenir, en cette année électorale, un environnement social et politique de liberté d’expression et de justice afin qu’elle soit une année de célébration de la démocratie et de la paix retrouvée.

Pour la coalition des partis politiques d’opposition de Côte d’Ivoire

et de la Société civile Ivoirienne en Suisse

Les Co-signataires: Haumar Sory (LIDER), Jean-Claude Gnahoua (COJEP), Saratha Toure (GPS), Germain Akessé (FIDHOP), Gerard Guédé (DEPA)

Ampliations :

  • Conseil Fédéral Suisse, Conseil National Suisse
  • L’ambassade de France en Suisse
  • La Commission des droits de l’homme de l’ONU
  • Amnesty International
  • Human Right Watch

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Côte d´ivoire, comment Alassane Ouattara va verrouiller 2025?

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Alassane Ouattara, Président de la république de Côte d´Ivoire

Après les élections régionales, municipales et sénatoriales, le president de la République monsieur ALassane Ouattara a tenu un Conseil des Ministre le Jeudi 28 Septembre 2023. 

Le gouvernement ivoirien fait face au scandale du stade de Ebimpé, à celui du racket et de l´extorsion de fonds orchestré par des unités de  son armée. Des scandales de trop qui ne laissent personne indifférent dans le pays . C´est dans ce contexte que  M. Alassane Ouattara annonce un remaniement à deux ans des prochaines élections présidentielles.

En effet, lors de cette réunion le Chef de l´État, Alassane Ouattara, a annoncé, un remaniement ministériel prévu dans les prochaines semaines, après la mise en place du Sénat. Bien avant, le Chef de l´Etat procedera à la nomination du nouveau président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance, du Grand Chancelier de l’Ordre National et celle du président de la Cour de Cassation.

Au déla de l´autosatisfeci ce remaniement semble indiquer  que le Chef de l´État affuterait ses armes pour les élections présidentielles de 2025.

Pour l´heure rien n´a filtré quant à la liste définitive et surtout au nombre de ministres, ce qui ouvre la porte à toute sorte de spéculation.

Saint Léo

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Stade d´Ebimpé: LeopoldVII Abrotchi demande le limogeage du Ministre

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Leopold VII Abrotchi, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte d´Ivoire

L´affaire du stade d´Ebimpé a fait couler beaucoup d´encre et de salive en Côte d´Ivoire, mais surtout de nombreux ivoiriens n´en revenait pas de la déclaration du porte-parole du gouvernement qu affirmait péremptoirement que personne ne sera sanctionnée pour une pluie exceptionnelle. Le Président du parti politique ivoirien Alternative Nouvelle pour la Côte d´Ivoire a dans une lettre ouverte adressée au président de la République monsieur Alassane Ouattara demandé le limogeage du Ministre des sports.

Ci-dessous l´integralité de sa missive à attention de au Chef de l´État, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara.

Objet : Demande de Limogeage du ministre des Sports de Côte d’Ivoire

Excellence, Monsieur le Président,

La construction du Stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé, officiellement inauguré le 3 octobre 2020, a coûté au contribuable ivoirien la somme colossale de 143 milliards. Sa réhabilitation, seulement 13 mois après, a englouti 20 milliards supplémentaires.

Excellence Monsieur le Président,

Le peuple de Côte d’Ivoire se retrouve, une fois de plus, face à une déception cuisante. En effet, le mardi 12 septembre 2023, lors du match amical Côte d’Ivoire – Mali, le stade fraîchement rénové a été le théâtre d’une véritable tragédie. La pluie s’est abattue, révélant les graves lacunes des travaux de réfection de la pelouse. Le système de drainage, manifestement inexistant, s’est avéré défaillant. Ce fut une honte, criée de tous côtés.

Malgré plusieurs mois de travaux et le premier test, une pluie d’une durée inférieure à 30 minutes, la cabine de presse et certaines zones du stade ont été inondées, devenant ainsi inutilisables. Au lieu de la pelouse hybride de qualité mondiale promise, pour laquelle 20 milliards avaient été investis, les Ivoiriens ont découvert une pelouse naturelle de piètre qualité.

Le Ministre des Sports, un expert autoproclamé dans son domaine, avait déclaré avec une assurance convaincante que : « Ce montant s’explique par notre décision de refaire intégralement la pelouse aux normes internationales, en utilisant de nouvelles techniques pour obtenir une pelouse hybride, à la fois synthétique et naturelle. Nous serons donc l’un des rares stades en Afrique à posséder une telle pelouse. De plus, d’autres travaux ont été programmés pour faire de ce stade l’un des meilleurs au monde. » Cependant, la réalité contraste vivement avec ces déclarations.

Excellence Monsieur le Président,

Nous souhaitons attirer votre attention sur la tendance à minimiser les efforts consentis par le contribuable ivoirien par le ministre des Sports. En effet, dans l’après-midi du jeudi 14 septembre 2023, après ses excuses publiques, votre ministre des Sports a annoncé devant la presse nationale et internationale que la remise en état de la pelouse n’a coûté que 2 000 000 000 FCFA, au lieu des 20 000 000 000 FCFA précédemment annoncés. Cette contradiction remet en question l’appel devant le Sénat pour une rallonge budgétaire de 20 milliards FCFA destinée à la rénovation complète. Qui assumera les coûts de cette nouvelle réhabilitation ? Où est passé le reste des 20 milliards supplémentaires obtenus ? À quoi cet argent a-t-il été réellement alloué, puisque votre Ministre soutient que 2 000 000 000 FCFA ont suffi pour cette tâche ? De plus, un bon d’exécution de 8 501 429 180 FCFA circule sur les réseaux sociaux, suscitant de nombreuses interrogations légitimes parmi les Ivoiriens. Le ministre des Sports a perdu la confiance du peuple.

Excellence Monsieur le Président,

Compte tenu de ce qui précède et des dépenses excessives engagées pour mettre en conformité le Stade d’Ebimpé, soit un total de 163 milliards, nous sollicitons respectueusement votre intervention afin de limoger purement et simplement votre ministre des Sports pour son inefficacité dans la gestion de la rénovation de la pelouse. Il n’a pas respecté les engagements pris devant la représentation nationale, et il donne l’impression d’agir avec légèreté dans cette affaire. Pour des travaux d’une telle médiocrité, coûtant seulement 2 milliards de FCFA, il est impératif qu’il soit relevé de ses fonctions. De plus, nous vous prions instamment de diligenter une enquête technique et financière sur tous les ouvrages sous sa responsabilité. En ces temps de difficultés économiques, où le pouvoir d’achat des Ivoiriens est sérieusement affecté par une inflation incontrôlée, il est crucial de restaurer la confiance du peuple. Dans tous les cas, nous prévoyons de remporter les élections en 2025 et de rétablir une gouvernance transparente dans la gestion des affaires publiques.

Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Président, l’expression de notre plus haute considération.

Leopold VII Abrotchi, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte d´Ivoire

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Élections 2023: « Ces résultats ne garantissent pas la victoire du RHDP en 2025 »

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Leopold Abrotchi, écrivain, Président de Alternative Nouvelle Pour la Côte D'Ivoire

C’est par le suffrage direct que sont choisis les gouvernants locaux à savoir les Maires de nos communes et les Présidents de Conseils Régionaux de nos régions. Ainsi le 02 septembre 2023, les ivoiriens appelés aux urnes « ont choisi » leurs gouvernants locaux. Les résultats provisoires de ces élections dont la crédibilité est remise en cause par plusieurs candidats de diverses régions attendent d´être confirmés ou infirmés. Nous livrons ici la première partie de notre analyse.

Ces résultats montrent grosso modo, que premièrement :

Moins de la moitié des citoyens contribuables inscrits ne se sont pas déplacés pour voter.

Deuxièmement, le RHDP (Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la Paix) le Parti-État a remporté la majorité des sièges des mairies et des régions, ce qui semble montrer la vitalité du parti au pouvoir depuis bientôt 15 ans. Dans le même temps, cette victoire fait croire à une implantation nationale réussie.

La manipulation qui en sera faite visera à montrer la popularité du parti au pouvoir et par ricochet, l’affirmation d’une majorité garantie pour l’élection présidentielle de 2025.

Dans les faits, nous notons que pour une grande partie des cas, le RHDP a gagné avec moins de cinquante pourcent (- 50%) voire (-45%).

En clair, il y a un rejet de l’offre politique du RHDP de l’ordre de 55%. Cette réalité parlante, va s’aggraver avec l’inflation, le manque d’emploi, la catastrophe éducative, les difficultés d’accès aux soins, les détournements de fonds impunis et autres engagements non tenus.

En 2025, les ivoiriens attendent une offre politique Alternative, pour mettre fin à l’offre impopulaire du RHDP. En clair, la présidentielle prochaine s’annonce épique et certainement le RHDP perdra cette élection si les ivoiriens font le bon choix.

Ce choix est l’offre que propose Alternative Nouvelle Pour la Côte D’Ivoire.

Leopold VII Abrotchi,

Président de Alternative

Nouvelle Pour la Côte D’Ivoire

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