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Italie: le nombre de morts désormais supérieur à celui de la Chine

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Des images terrifiantes à l’intérieur des salles de crise italiennes montrent des patients atteints de coronavirus dans des casques à bulles qui luttent pour respirer alors que les médecins avertissent que leurs meilleurs efforts ne sont pas suffisants après que les décès aient augmenté de 475 à 3 405 – PLUS ÉLEVÉS que la Chine
Des rapports horrifiants des hôpitaux en première ligne contre le coronavirus en Italie montrent que les médecins sont impuissants à l’arrêter
Le nombre de morts dans le pays a augmenté de 475 mercredi et 427 hier pour être supérieur à celui de la Chine
Les derniers chiffres ont anéanti l’espoir que le verrouillage national sans précédent ralentisse la propagation des agents pathogènes
Le bilan des morts en Chine, où le coronavirus a commencé à Wuhan, s’élève actuellement à 3 249 et 3 405 en Italie.
Il survient après le déploiement de camions militaires à travers le pays pour transporter des dizaines de cercueils de victimes à incinérer
Les morgues sont pleines et le personnel du crématorium traite 24 corps par jour, selon des responsables de Bergame

Des médecins italiens désespérés à l’épicentre du coronavirus ont expliqué à quel point tous leurs efforts «  ne suffisaient pas  » alors que le bilan des morts de leur pays dépassait celui de la Chine même.

Hier, le nombre de morts a atteint 3 405, le plus élevé du monde, malgré les vaillants efforts de médecins brisés pour maintenir en vie les victimes malades du virus.

Un rapport choquant de Sky News a montré les scènes mouvementées à l’intérieur de l’hôpital Papa Giovanni XXII dans la zone touchée par la crise de Bergame en Lombardie, avec du personnel se précipitant dans les salles avec des lits pleins de patients en détresse.


Des séquences vidéo horrifiantes montraient des personnes à bout de souffle tout en tenant leurs poitrines et leurs tubes au milieu d’un bip constant de moniteurs cardiaques et de pompes respiratoires, tandis que d’autres patients portaient des «  casques à bulles  » pour les aider à respirer.

Le Dr Lorenzo Grazioli, qui travaille à l’hôpital mais était auparavant basé à Leicester, a déclaré à Stuart Ramsay de Sky News: «  Je ne me suis jamais senti aussi stressé de ma vie.

«Je suis un intensiviste, et je suis assez habitué aux moments intenses, aux choix, et les gens sont critiques et meurent sans aucun traitement, et vous [en général] faites la différence.

Des médecins italiens désespérés à l’épicentre du coronavirus ont expliqué à quel point tous leurs efforts «  ne suffisaient pas  » alors que le bilan des morts de leur pays dépassait celui de la Chine même.


Hier, le nombre de morts a atteint 3 405, le plus élevé du monde, malgré les vaillants efforts de médecins brisés pour maintenir en vie les victimes malades du virus.

Un rapport choquant de Sky News a montré les scènes mouvementées à l’intérieur de l’hôpital Papa Giovanni XXII dans la zone touchée par la crise de Bergame en Lombardie, avec du personnel se précipitant dans les salles avec des lits pleins de patients en détresse.

Des séquences vidéo horrifiantes montraient des personnes à bout de souffle tout en tenant leurs poitrines et leurs tubes au milieu d’un bip constant de moniteurs cardiaques et de pompes respiratoires, tandis que d’autres patients portaient des «  casques à bulles  » pour les aider à respirer.

«Mais quand vous êtes à ce stade, vous vous rendez compte que vous n’êtes pas assez. Nous sommes 100 anesthésistes, nous faisons de notre mieux, mais ce n’est peut-être pas suffisant.

Des images ont montré les médecins italiens utilisant des «casques à bulles» pour traiter les patients nécessitant une assistance respiratoire.

Il a été démontré que les gadgets – un casque transparent et étanche à l’air aident les patients gravement malades à mieux respirer et améliorent leurs chances de survie.

Un ventilateur est une machine qui aide à respirer en injectant de l’oxygène dans les poumons et en éliminant le dioxyde de carbone du corps.

Habituellement, le ventilateur est connecté au patient à travers un masque facial, avec un tube qui est placé dans la bouche ou le nez et le long de la trachée.

Le nombre de morts et le nombre de cas confirmés ont de nouveau augmenté hier en Italie, et le pays a maintenant enregistré 41 035 infections, soit plus de la moitié des cas positifs dans le monde.

Mercredi, l’Italie a enregistré le plus haut bilan officiel de décès par coronavirus sur une journée de tous les pays avec 475 décès en seulement 24 heures.

Les derniers chiffres ont anéanti l’espoir que le verrouillage national sans précédent contribuait à ralentir la propagation de l’agent pathogène.

L’Italie a atteint le cap horrible le même jour, l’épicentre d’origine de la pandémie, Wuhan en Chine, n’a enregistré aucune nouvelle infection.

Dans l’ensemble, la Chine a recensé 3 249 morts jeudi, 156 de moins que l’Italie, selon la carte du virus de l’Université Johns Hopkins.

Il a été ordonné aux Italiens de rester à l’intérieur, les écoles et les universités fermées, les magasins fermés, à l’exception des épiceries et des pharmacies, et de lourdes restrictions de voyage.

Mais le système de santé du pays a été submergé par le virus et jeudi une équipe de la Croix-Rouge chinoise en visite a critiqué l’incapacité des Italiens à mettre en quarantaine et à prendre au sérieux le verrouillage national.

Pendant ce temps, des camions militaires ont été déployés à travers l’Italie pour transporter des dizaines de cercueils de victimes à incinérer alors que des images effrayantes de patients disposés sur des lits d’hôpital le long des couloirs d’une unité de soins intensifs à Bergame ont également émergé.

La crise met en évidence la façon dont les services de santé dans le nord de l’Italie ont été submergés par la pandémie, avec des médecins décrivant les hôpitaux en crise et de nombreux médecins travaillant dans des tentes de fortune.

Le gouverneur de Lombardie, la région la plus touchée qui comprend Bergame, a déclaré que les médecins et les infirmières des hôpitaux de la région étaient à leurs limites.

 

Source: Daily Mail

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Le Premier Ministre Sénégalais Ousmane Sonko, recadre Emmanuel Macron

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Monsieur Ousmane Sonko, actuel Premier Ministre Sénégalais

Lors de la Conférence des ambassadrices et ambassadeurs à l’Élysée le 6 janvier 2025, Emmanuel Macron a consacré une large partie de son intervention à l’Afrique. Il a abordé les relations historiques, les défis actuels et les orientations stratégiques de la France.

Dans son allocution affirmait entre outres que « qu’aucun pays africain ne serait aujourd’hui souverain, si la France ne s’était déployée » ou encore « Nous avons proposé aux chefs d’État africains de réorganiser notre présence », Il expliquait également “Comme on est très polis, on leur a laissé la primauté de l’annonce », indiquant que plusieurs de ces pays « ne voulaient pas enlever l’armée française ni la réorganiser ». A la suite de cette sortie jugée irrespectueuse et irresponsables par plusieurs analystes politiques, le Premier Ministre Sénégalais Ousmane Sonko a réagi pour à porter un démenti cinglant, recadrant de ce fait le président français.

Selon Monsieur Sonko  » Le Président Emanuel Macron a affirmé aujourd’hui que le départ annoncé des bases françaises aurait été négocié entre les pays africains qui l’ont décrété et la France. Il poursuit en estimant que c’est par simple commodité et par politesse que la France a consenti la primeur de l’annonce à ces pays africains.

Je tiens à dire que, dans le cas du Sénégal, cette affirmation est totalement erronée. Aucune discussion ou négociation n’a eu lieu à ce jour et la décision prise par le Sénégal découle de sa seule volonté, en tant que pays libre, indépendant et souverain. Il déclare, enfin, « qu’aucun pays africain ne serait aujourd’hui souverain, si la France ne s’était déployée ». Constatons que la France n’a ni la capacité ni la légitimité pour assurer à l’Afrique sa sécurité et sa souveraineté.

Bien au contraire, elle a souvent contribué à déstabiliser certains pays africains comme la Libye avec des conséquences désastreuses notées sur la stabilité et la sécurité du Sahel.

C’est enfin le lieu de rappeler au Président Macron que si les soldats Africains, quelquefois mobilisés de force, maltraités et finalement trahis, ne s’étaient pas déployés lors la deuxième guerre mondiale pour défendre la France, celle-ci serait, peut être aujourd’hui encore, Allemande. »

Saint Leo @Leadernewsci

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Les propos de Macron qui banalisent la douleur de la population et scandalisent Mayotte

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Emmanuel Macron visite l´ile de Mayotte après le passage du Cyclone Chido - Photo AFP

Le président français Emmanuel Macron a été hué lors de sa visite à Mayotte, où il s’est rendu pour constater les dégâts causés par le cyclone Chido, le plus puissant à frapper le territoire en près d’un siècle.

Les habitants, exprimant leur frustration face à la lenteur de la réponse gouvernementale, ont scandé des slogans tels que « Macron démission » et « De l’eau, de l’eau, de l’eau », soulignant le manque d’accès à l’eau potable et à d’autres services essentiels près d’une semaine après la catastrophe.

Le cyclone a causé des destructions massives, laissant de nombreuses personnes sans abri et sans accès aux besoins de base. Le bilan officiel fait état de 35 morts, bien que les autorités craignent que le nombre réel de victimes soit beaucoup plus élevé, potentiellement de plusieurs centaines à des milliers, en raison de la difficulté d’accéder aux zones les plus touchées, notamment celles abritant des migrants sans papiers vivant dans des conditions précaires.

Face à la colère des résidents, Macron a défendu la réponse du gouvernement, affirmant que des efforts étaient en cours pour fournir de l’aide et rétablir les services essentiels. Il a également annoncé la mise en place d’une loi spéciale pour accélérer les efforts de reconstruction et remplacer les bidonvilles par des structures plus solides.

Malgré ces promesses, de nombreux Mahorais se sentent négligés par les autorités françaises, une situation exacerbée par la pauvreté endémique et les défis liés à l’immigration clandestine sur l’île. La situation reste critique, avec des besoins urgents en eau potable, nourriture et services médicaux pour prévenir de potentielles épidémies. La colère contre le président français reste vive sur l´ile où les habitants jugent scandaleux certains propos d´Emmanuel Macron qui avait affirmé « si c´était pas la france, vous serez 10.000 fois dans la merde ». La population s´estime marginalisée.

La visite de Macron à Mayotte intervient dans un contexte de critiques accrues concernant sa gestion de crises similaires, les résidents exprimant leur désir de voir des actions concrètes plutôt que des promesses. La reconstruction de l’île et le rétablissement des services de base demeurent des priorités urgentes pour les autorités françaises.

Leadernews avec AP News

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La chute de Bachar Al-Assad : fin d’une ère et bouleversements régionaux

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Bachar Al-Assad, président de la Syrie, renversé par des Rebelles islamistes

Après plus d’une décennie marquée par la guerre civile, des combats acharnés, et des alliances complexes, la chute du régime de Bachar Al-Assad en Syrie marque un tournant historique pour le pays et pour le Moyen-Orient.

Ce bouleversement, longtemps jugé improbable par les analystes, soulève des questions sur l’avenir de la Syrie et sur l’équilibre géopolitique régional.

Les causes de l’effondrement du régime

Le régime de Bachar el-Assad a résisté pendant de nombreuses années grâce à des soutiens militaires et politiques étrangers, notamment de la Russie et de l’Iran. Toutefois, plusieurs facteurs internes et externes ont fini par précipiter sa chute :

Épuisement économique : Les sanctions internationales, l’effondrement de la monnaie syrienne et la destruction massive des infrastructures ont plongé la population dans une pauvreté extrême.

  • Pression internationale accrue : L’isolement diplomatique du régime s’est renforcé, avec une coalition grandissante de pays exigeant un changement de leadership en Syrie.
  • Fractures internes : Les défections au sein de l’armée syrienne et la perte du soutien de certaines élites économiques ont ébranlé la colonne vertébrale du pouvoir.
  • Soulèvements populaires : Malgré une répression brutale, les foyers de contestation ont continué de se multiplier dans tout le pays, galvanisés par le désespoir et la fatigue de la guerre.

Les derniers jours du régime Assad

Les derniers mois ont été marqués par une intensification des combats dans les régions clés du pays, en particulier autour de Damas. Les forces d’opposition, aidées par des coalitions internationales et des acteurs régionaux, ont réussi à repousser les forces pro-Assad hors des grandes villes.

Selon des sources locales, le retrait des troupes russes et la réduction du soutien iranien ont laissé le régime affaibli et incapable de maintenir son emprise sur le pays. Le 15 juin dernier, une coalition rebelle a proclamé la prise du palais présidentiel, signifiant la fin symbolique du règne de Bachar el-Assad.

Les réactions internationales

La chute d’Assad a suscité des réactions diverses sur la scène mondiale :

  • Russie : La Russie, principal soutien du régime syrien, tente de repositionner sa stratégie régionale face à cette perte d’influence.
  • Iran : Pour Téhéran, l’éviction d’Assad représente un coup dur pour son projet d’expansion régionale et ses alliances chiites.
  • Occident : Les États-Unis et les puissances européennes, tout en saluant la fin d’une dictature, se préoccupent de l’instabilité potentielle et de la montée en puissance de groupes extrémistes.

Les défis à venir pour la Syrie

Si la chute d’Assad est saluée par certains comme une victoire pour une probable démocratie, le pays reste confronté à d’énormes défis :

  • Reconstruire un pays dévasté : La Syrie fait face à des destructions massives et à une économie en ruine.
  • Assurer la transition politique : La question d’un gouvernement de transition inclusif reste cruciale pour éviter de nouvelles divisions.
  • La montée des factions : La fragmentation des groupes d’opposition et la présence de milices extrémistes pourraient plonger le pays dans une nouvelle phase de violence.

La chute de Bachar el-Assad marque un moment historique, mais l’avenir de la Syrie demeure incertain. Alors que le pays entre dans une période de transition, la communauté internationale et les acteurs syriens devront travailler de concert pour reconstruire un État stable, inclusif et pacifié. L’histoire retiendra cette chute non seulement comme la fin d’un régime, mais aussi comme un moment décisif pour la région tout entière.

Léopold VII Abrotchi, écrivain et analyste politique

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