Restons en contact

Politique

« Jeudi, c’est Koulibaly: Ouattara se prend une raclée

Publié

activé

Cette semaine, dans sa très populaire rubrique « Jeudi, c’est Koulibaly », diffusée sur la page facebook de LIDER, parti dont il le candidat à la présidentielle de 2020, Mamadou Koulibaly s’est attaqué au bilan du président ivoirien Alassane Ouattara, en fustigeant l’autosatisfaction dont ce dernier fait preuve.

 

 

Herve Christ

Comments

comments

Politique

Municipales2023: « A Yopougon c´est choquant et condescendant »

Publié

activé

En Côte d´Ivoire les élections des collectivités locales, auront lieu au mois de Septembre 2023. Les états-majors des partis et groupements politiques, ainsi que la pléthore de candidats indépendants affutent leurs armes, la pré-campagne bat déjà son plein.

Plusieurs duels auront lieu avec toutes les conséquences politiques que cela peut avoir sur l´environnement politique ivoirien. Leadernewsci a rencontré Leopold Abrotchi membre fondateur du mouvement politique ivoirien Alternative Nouvelle

Les élections municipales sont prévues pour le 02 septembre 2023, dans beaucoup de villes et communes il y aura des duels entre les partis politiques, avez-vous des craintes ?

LA : Comme vous le savez la Commission Electorale Indépendante de notre pays, a habitué les ivoiriens à prendre rendez-vous avec la mort à chaque élection, par conséquent, oui j´ai des craintes, rappelez-vous la présidentielle de 2020, les législatives de 2021 et même les primaires du RHDP.

Cependant il revient à tous les acteurs de prendre conscience de leur responsabilité et d´œuvrer pour un climat apaisé qui sérénise les élections en Côte d´Ivoire. Notre vœu le plus pieux est que cette année le sang des ivoiriens ne soit pas versé, que aucun ivoirien ne meurt pour son suffrage. Nous disons ça suffit, à la barbarie électorale.

Que pensez-vous du cas de Cocody, où deux militants du PDCI s´opposeront ?

LA: C´est une probabilité, mais attendons pour voir si cela se confirme. Et si le duel entre Yasmina Ouegnin et le Maire Pdci sortant Jean-Marc Yacé se confirmait, ce serait dommage pour le PDCI de Cocody et ses cadres dans la dite commune. Pour nous il est inconcevable que des députés puissent candidater au poste de Maire dans une commune. Il faut une loi pour interdire ce genre de cumule de fonction.

Fort de ce principe nous estimons que l´Honorable Yasmina Ouegnin doit sursoir à cette candidature, qui du reste fragilisera le PDCI son parti. Au demeurant, Il reste la possibilité que les membres des deux listes du PDCI soient jointes sans Yasmina Ouegnin qui joue un rôle essentiel à l´Assemblée Nationale.

Je finis en disant ceci, les cadres doivent savoir s´entendre ou s’arranger en facilitant les arbitrages dans l´intérêt du parti en l´occurrence du PDCI-RDA. Si c´est une stratégie je ne la voit pas payante à moins d´un désistement de l´honorable Yasmina Ouegnin.

A Yopougon le PDCI et le PPA-CI ont chacun leur candidat face à eux le RHDP que vous inspire cette situation ?

LA : C´est de bonne guerre, si le Parti des Peuples Africains-Côte d´Ivoire (PPA-CI) et le PDCI (Parti Démocratique de Côte d´Ivoire) ont chacun leur candidat. Mais aujourd´hui le contexte est différent, aussi les actes que cela implique devraient être différents. En d´autres termes, le PPA-CI et le PDCI étant deux partis dans l´opposition doivent unir leurs forces sur certains fronts, comme à Yopougon.

Si vous analysez bien l´électorat de cette commune n´est acquise à aucun parti, surtout que les nouveaux majeurs n´ont pas été massivement inscrits sur la liste électorale de Yopougon. En clair, s´il n´y a pas de liste unique PDCI – PPA-CI, le grand vainqueur des municipales à Yopougon sera le RHDP (Rassemblement des Houphetistes pour la Démocratie et la Paix).

Ça a été le cas à Dabou où le RHDP a gagné les législatives avec 29,28% des voix devant EDS 28,29%. Un résultat qui traduit l´arrogance et l´égocentrisme des uns et des autres. Parlant d´égocentrisme, cela se reflète dans le choix des deux têtes de liste, à savoir Dia Houphouet et Michel Gbagbo. Tous deux sont des députés, malheureusement ces deux personnalités sont ancrées dans l´ancien système, celui du pouvoir total, des cumuls de fonction.

Mais diantre, n´y a-t-il pas dans leur partis des hommes et ou des femmes capables de diriger une mairie ? Ne peuvent-ils pas laisser volontairement la place aux autres ? Il nous faut sanctionner tous les cumulards de fonction peu importe leur parti. Il n´est pas encore tard, j’appelle les honorables Dia Houphouet et Michel Gbagbo à renoncer à ces candidatures et à soutenir d´autres militants au sein de leur formation politique, si tel est qu´ils ne peuvent pas s´unir pour les municipales.

L’artiste international Congolais, Christophe Agbepa Mumba, alias Koffi Olomidé, a décidé de faire campagne pour l’actuel président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, M. Adama Bictogo à Yopougon, qu´en pensez-vous ?

LA : C’est son droit le plus absolu. Pour moi, l’intérêt de ce soutien politique et public est que demain, nous pourrions, nous aussi être aux côtés de camarades combattants en République Démocratique du Congo (RDC) pendant et après les élections à venir.

Le hic est que Koffi Olomidé, quoique adulé par les ivoiriens, ne reflète pas les valeurs que, les jeunes ivoiriens recherchent.

La mission de diversion de Olomidé a été difficile, parce que simplement, les ivoiriens de Yopougon connaissent mieux M. Adama Bictogo que Olomidé l’enscenseur. Ils s’avent que M. Adama Bictogo a été ministre, qu’il est député d’Agboville, président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire et qu’il prétend déraisonnablement être maire d’une autre commune.

On comprend que pour Koffi Olomidé cela est logique, naturel voire normal. Il trouve correct que le député d’une ville soit également maire dans une autre ville qui n’appartient pas à la même région administrative.

Koffi Olomidé avec tout le respect qu´on lui doit, doit savoir que les ivoiriens veulent mettre fin à cette pratique politique choquante, condescendante.

Nous nous refusons de croire que cela est une norme en RDC, et même si c’était le cas, ici en Côte d’Ivoire, nous disons non à ce comportement politique. Notre position reste tranchée, raison pour laquelle nous nous érigeons en Alternative Nouvelle pour un changement véritable au niveau politique dans notre pays.

Votre mouvement Alternative nouvelle présentera-t-il des candidats aux élections Municipales et Régionales à venir ?

LA : Nous sommes au laboratoire, mais rassurez-vous nous avons des candidats. Je vous donne rendez-vous début. Il y a un bon coup à jour dans les grands ponts pour les régionales et à Dabou pour les municipales. Pour nous 2023 ne sera pas une année blanche. Nous serons sur le front.

Quel votre mot de fin ?

LA : Merci à Leadernewsci, pour l´honneur qu´elle nous fait et l´opportunité qu´elle nous donne de nous exprimer. Chers ivoiriens, les élections sont un moment important de décision. Un rendez-vous à ne pas manquer. Malheureusement la technique du régime au pouvoir est d´empêcher sournoisement, les nouveaux majeurs d´y prendre part.

En effet, leur présence sur la liste électorale contre balancera les résultats en défaveur des candidats du parti au pouvoir. Fiers ivoiriens, prenez aujourd´hui toutes les dispositions pour vous faire enrôler sur la liste électorale afin qu´ensemble nous réalisons le changement en 2025.

Nous invitons les ivoiriens et les ivoiriennes à venir massivement à notre convention nationale qui aura lieu au mois d´Août de cette année.

Leadernewsci 

Comments

comments

Continuer la lecture

Politique

Municipales 2023 Kokumbo, Kouadio Nathan Charles prochain maire?

Publié

activé

Kouadio Nathan Charles, Cadre de Kokumbo

Les échéances électorales de 2023, qui couplent les Régionales et les Municipales, auront lieu le 02 septembre prochain. Tous les candidats affûtent leurs armes. Dans la commune de Kokumbo, le candidat indépendant Kouadio Nathan Charles est serein et sûr de sa victoire.

Kouadio Nathan Charles opérateur économique et Révérend, est natif et cadre de Kokumbo. Il a été candidat indépendant aux législatives en 2021 dans la circonscription de Toumodi sous-préfecture. Cette année, il revient se mettre à la disposition de la commune de Kokumbo pour servir les siens.

Sa candidature fait suite à plusieurs constats d´échecs faits dans gouvernance de la commune. Pour Kouadio Nathan Charles il y a beaucoup à redire sur la gestion actuelle des affaires communales. Il reste convaincu que beaucoup reste à faire. « Ils ont dégradé l´image de Kokumbo, notre petit Paris. Il faut donc une nouvelle équipe qui aura pour mission de redorer l´image de notre commune. Une équipe qui porte des valeurs et la forte conviction d´apporter le bonheur à chacun des habitants de notre circonscription. Une équipe qui portera avec audace les aspirations des populations de Kokumbo » affirme-t-il.

Cette équipe pour changer Kokumbo c´est REUSSIR ENSEMBLE. Le natif du département de Toumodi a appelé toutes les forces vives de Kokumbo à rejoindre l´équipe Réussir Ensemble, pour le développement participatif et durable de la commune. Kouadio Nathan Charles attire « l´attention des populations quant aux vendeurs d´illusions, ces marchands de dupes qui affluent dans les localités en période électorale », tout en les invitant à Saisir cette opportunité unique de changement qualitatif de Kokumbo en votant la liste qu´il dirige.

Leadernewsci

Comments

comments

Continuer la lecture

Nationale

« Le temps d´une alternative nouvelle est arrivé »

Publié

activé

Leopold Abrotchi, écrivain, Alternative Nouvelle

L´espace politique ivoirien qui ne tarit pas de partis, de groupements et de mouvement politiques, s´apprête à accueillir une nouvelle organisation. LeaderNewsci, votre journal est allé à la rencontre d´un des membres fondateurs d´Alternative Nouvelle.

1- Présentez-vous à nos lecteurs et présentez-nous la structure politique que vous avez fondée ?

Avant tout propos je tiens à vous remercier pour la considération apportée à notre mouvement politique. Je suis Leopold Adou Agnouwol Abrotchi, je suis linguiste, écrivain et membre fondateur d’Alternative Nouvelle. Alternative Nouvelle est constitué de citoyens libres, jouissant de la totalité de leurs droits civiques constitutionnels. Nous sommes la somme des aspirations frustrées du peuple de Côte d´Ivoire pour un futur meilleur. Nous sommes la voix du changement du système de gouvernance opérant actuellement dans notre pays. Nous sommes l´alternative Nouvelle. Nous défendons les droits des citoyens, c´est -à – dire les droits inaliénables de chacun d´entre nous : le droit à la liberté d´expression et d´opinion, surtout politique, le droit à la justice pour tous, le droit à la sécurité – alimentaire, sociale, sanitaire, le droit à la sécurité des biens et des personnes et enfin, le droit à l´éducation pour tous.

Nous défendons les principes de la Démocratie et les valeurs de la République, car nous estimons que ces deux piliers demeurent le socle pour un bonheur social équitablement partagé dans un environnement durablement apaisé.

2- Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à mettre sur pied ce nouvel outil politique ?

A Alternative Nouvelle, nous aspirons bâtir une Côte d´Ivoire souveraine, unie, juste, prospère et solidaire. Notre mouvement politique est né suite à un constat d´une longue série d´échec des forces politiques à consolider la construction de l´Etat-Nation ivoirien ou à poursuivre l´édification de la nation ivoirienne amorcée à l´accession à l´indépendance en 1960. Pour faire court, je vous prendrai un élément, à savoir la politique. A ce niveau, les partis politiques et leurs satellites ont mal pris les virages de l´histoire électorale du pays, leurs successifs dérapages ont conduit la Côte d´Ivoire dans un état de belligérance que nous pouvons appeler « la guerre de 30 ans ». C´est – à – dire que de 1990 à 2020, chaque élection présidentielle est un moment fatidique de confrontations sanglantes, soigneusement préparées par chaque état-major, chacun allant avec ses moyens. Ce qui démontre un refus quasi systématique des gouvernement successifs de mettre en place d´un cadre durablement viable, impartial c´est-à-dire apolitique et professionnel pour l´organisation des élections. Cela se voit aussi avec les tripatouillages constitutionnels et les ambiguïtés suscitées à dessein dans l´interprétation de certains articles du code électoral pour créer la confusion juridique. Ne parlons pas du découpage électoral mesquin régulièrement dénoncé, mais qui demeure encore et toujours à l´avantage du parti au pouvoir. Ce chapitre est long, pour l´écourter, je dirai que toutes ces manigances qui aboutissent chaque fois à la tuerie des citoyens ivoiriens visent la conservation du pouvoir d´Etat. Cet État si cher à nos grands-parents qui ont combattu le colon au prix de leur vie est aujourd´hui dénaturé. Il est devenu dangereusement le parti-Etat ou l´État-Parti. Autrement dit, on ne sait plus distinguer l´État, le gouvernement et le Parti politique au pouvoir, de sorte que les militants du parti au pouvoir, pensent et ou affirment être l´État. Or substantiellement, l´État, le nôtre est républicain, c´est-à-dire une chose publique, la propriété commune du peuple, ce qui oblige son chef – le chef de l´État à recourir au suffrage universel.

3- Peut-on connaître vos ambitions à court, moyen et long terme ?

Notre objectif à court terme est la réalisation de notre première Convention Nationale, dans le mois d´Aout, pour nous c’est l’événement majeur en cette année 2023. Cette Convention est l’élément catalyseur de notre mouvement, mais aussi et surtout un moyen pour nous de structurer de façon interne par la confirmation ou l´élection du bureau exécutif national et de façon externe par notre constitution juridique et administrative. A cela il faut ajouter bien évidemment notre participation aux élections municipales de cette année. A moyen terme l´installation de nos coordinations au niveau national et dans la diaspora avec en ligne de mire la présidentielle de 2025 et les législatives. Sur le long terme, continuer le maillage du territoire national, mieux faire connaitre notre projet de société qui sera prêt fin 2024, poursuivre la formation politique du peuple de Côte d´Ivoire aux valeurs républicaines et démocratiques conformément à la constitution de 2016 en son article 14.

4- Pensez-vous véritablement que votre nouvelle démarche politique sera appréciée et appréhendé sitôt par les Ivoiriens ?

Bien sûr, mouvement politique sera adoubée par le peuple de Côte d´Ivoire. Vous savez, la demande d´une nouvelle offre politique est très forte. Les ivoiriens fatigués de l´état de belligérance des 30 dernières années, déçus par des engagements non tenus des régimes qui se sont succédés au pouvoir veulent essayer autre chose, mais quoi ? Nous répondons à leurs attentes, nous irons à la rencontre de leurs aspirations dans notre projet de société intuitif.

5- Quelle lecture faites-vous de l’actualité ambiante de la politique ivoirienne ?

Je suis peiné de voir le bricolage du gouvernement face à la baisse du pouvoir d´achat des ivoiriens, lesquels vivent aujourd’hui la cherté de la vie comme une fatalité. 3000 docteurs formés sur orientation de l´État qui sont sans emploi, qu´en sera-t-il des promotions futures ? La haine encore vivace, l´état de belligérance toujours présent dans le milieu politique, là nos efforts devraient se concentrer sur la consolidation de la cohésion sociale par la réconciliation. Ne mettons pas notre poussif État-Nation en péril. Il faut une alternative à tout cela. Force est de constater qu´il y a beaucoup à faire encore aujourd´hui.

6- Quel regard portez-vous sur la gestion des affaires de l’état par l’actuel parti au pouvoir, le RHDP ?

Il y a deux cotés comme sur une médaille. Le côté face c´est le Doing business, avec un environnement des affaires amélioré, il faut le reconnaitre, même si l´État peut mieux faire. Les infrastructures de mobilités ou de communication relookées pour les existants et ou concrétisées pour les anciens projets, en douze (12) années de gouvernance. Il faut féliciter le gouvernement pour réalisation de ces chantiers.

Le pile c´est-à-dire, le côté sombre de cette gestion est la mauvaise gouvernance. Malheureusement on ne peut la cacher, tant elle est manifeste. La gabegie est outrancière, les malversations d´un haut niveau ; la corruption et les détournements de fonds publics sont devenus un cancer qui discrédite notre pays. C´est le flou artistique dans la gestion du budget de l´État, cette opacité systémique empêche naturellement toute transparence. Vous remarquerez qu´aujourd´hui comme dans les 30 décennies passées, les détourneurs du dénier public sont dans leur grande majorité des partisans du parti au pouvoir. C´est aussi la dette colossale que le chef de l´état va laisser à notre génération et aux futures. Il beaucoup à dire au niveau de la très mauvaise gouvernance étatique que le peuple ivoirien subi et pire encore aujourd´hui, cependant, je m´arrêterai sur la calamité éducative de ces dix (10) dernières années, avec le saccage du système éducatif ivoirien.

Malgré tout, nous invitons les ivoiriens à garder espoir, car la mauvaise gouvernance n´est pas une fatalité. Et d´ailleurs nous sommes l´Alternative Nouvelle à cette mal gouvernance.

7- Bientôt, votre parti fera son entrée officielle dans le microcosme politique ivoirien, avez-vous des appréhensions face aux partis existants ?

L´environnement politique ivoirien a été sévèrement dégradé, et compulsif avec une personnalisation du débat, raison pour laquelle nous venons apporter notre contribution. Franchement nous n´avons aucune appréhension, la république et son peuple n´est la chasse gardée d´aucun parti politique. Cette vérité tout le monde le vit au jour le jour. Nous avons décidé de ne pas attendre 50 ans pour avoir des ambitions politiques, des convictions et un projet de société. Nous sommes la nouvelle offre politique ivoirienne, nous sommes l´Alternative Nouvelle. Nous souhaitons que ce soient les idées, les projets qui cristallisent l´attention du public politique et non les hommes. Notre fétiche à nous c´est notre idéologie, c´est notre projet de société, pas un homme.

8- Pour les futurs enjeux électoraux allez-vous, vous unie avec des mouvements ou partis politiques ?

Laissez-nous le temps de nous constituer dans un premier temps. Ensuite nous évaluerons les enjeux au cas par cas. Je tiens à rappeler à toute fin utile, que ces élections visent la gouvernance locale. Autrement dit elles ne sont pas politiques, comme les législatives ou la présidentielle. Nous déciderons de la marche à suivre mi-septembre 2023.

9- Avez-vous un appel à lancer à la Nation ivoirienne dans son entièreté ainsi qu’aux amis de la Côte d’Ivoire, qui résident en terre ivoirienne ?

Nous disons aux ivoiriens:  « ne désespérez pas des politiciens, car une nouvelle génération est née et prend sa place sur l´échiquier ». Nous leur disons encore qu´il n´y a pas de fatalité, qu´il est encore possible de bâtir une Côte d´Ivoire souveraine, unie, juste, prospère et solidaire. Il existe une alternative à la mauvaise gouvernance, à l´état de belligérance, au népotisme, au clanisme, à l´ethnocentrisme. Nous appelons tous les ivoiriens du sud, du nord, de l´est et de l´ouest qui rêvent d´une alternative au système de gouvernance actuel à se joindre à nous pour opérer les changements auxquels nous aspirons tous.

Aux amis de notre pays, je leur dis rassurer vous nous continuerons à bâtir ensemble la Cote d´ivoire, dans le respect de nos lois. Pour la Côte d´Ivoire sera toujours le pays de l´hospitalité.

10- Quel est votre mot de fin ?

Merci à vous et à vos lecteurs, nous espérons vous compter parmi nous en Août prochain.

Que Dieu bénisse la Côte d´Ivoire et nous garde.

Réalisé par Leadernewsci

Comments

comments

Continuer la lecture

Abonnez-vous à notre newsletter

Publicité

Sponsorisée

Facebook

Publicité Enter ad code here
Publicité

Tendances